mercredi 7 août 2013

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N'ayant pas de but précis, il m'arriva de côtoyer des compagnons d'infortune. Souvent, je passai des nuits à somnoler sur une paillasse dans un appartement inconnu, au côté d'un type aviné qui me racontait sa vie... Laquelle bien entendu, valait bien la mienne...

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 Un lecteur imbécile m'a tiré de la page 238  du livre où je finissais mes jours peinarde.  Je ne saurai jamais si le commissaire Moifor...