mercredi 18 octobre 2017

VIDE GRENIER ( 2 )

Vous le voyez machin... Planqué derrière sa makine, lunettes noires, cagoule de nationaliste  et bonnet à pompon petit patapon, adepte du Sous-Commandant Marcos et de Jean Bon, l'espion qui sent bon... Vous sentez comme ses mains crochues s'accrochent au bastinguage, au canot du Titanic quand la Céline braille sa chanson à deux balles... C'est que depuis qu'il a laissé tomber le Vélin pour l'embrouillamis ( ? ) de la toile,  le gredin marche sur l'eau... Se prend pour l' Père Hugo en exil ou pire éructe comme Danton devant la Veuve... A peine remis de sa cuite journalière, l'affreux se frotte les paluches, imaginant déjà les balourdises qu'il va pondre en trois minutes chrono... Qui va-t-il épingler sur son tableau de mal-voyant ( ? ). Avec tous les vilains cocos qui traînent dans le monde, le choix qui s'offre à la Souris Déglinguée ( punkie ? ) est plus large que la mer de ce cucul de Moïse qui déjà dans l'Ancien Test, noya quelques arabes... Le temps ne fait rien à l'affaire...
Imaginez un instant ( je sais vous avez pas trop le temps ! ) le vieux débris tapi comme un matou devant la ratière où moisit doucement le frometon du passé, cherchant en vain la mèche de cheveux de cette gigolette de quinze balais, qui avait les yeux plus grands que la faim dans le monde, retroussant ses manches devant une valse musette ou ces petits " communards " qu'on sifflait entre deux " filles de joie " ( attention machin ! tu vas te faire allumer ! ) et vous comprendrez que renifler les vieilles godasses, ça vaut guère mieux que se taper un vide-grenier ( ? ) même planqué derrière une makine, lunettes noires, etc... etc...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

 H                                                                                                           U                              ...