Dites-moi... Comment gribouiller avec tous ces " ponts ", ces grèves, ces oiseaux noirs qui tournent autour de nos têtes... Je vous le demande...
Les éboueurs ne passent plus. Le dealer n'ouvre plus qu'un jour sur trois et le magazin de chopines tourne au ralenti... La makine fabouille, et pour ne pas être en reste, le lavabo est bouché et la baignoire glougloute pire les globules en folie de votre serviteur.
En revenant de Nantes, de Nantes à Montaigu, j'ai croisé quelques touristes égarés qui braillaient que les cascades ne coulaient plus, que les tiques leur bouffaient la couenne... S'en fallait de peu qu'ils ne manifestent, écrivent à la Préfecture, à l'Evêché pour gueuler que décidément ce joli mois de Mai, depuis les années de braise, c'était une foutue chienlit...
Je vous embrasse pas.
Je monte au ciel...
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