mardi 27 novembre 2018

Cinétoc

Un conseil. Oubliez tout ce que vous savez sur la bimbo anglische, blablateuse, radoteuse, l'égérie, la muse ( ou le jouet ? ),  couvée par son pygmalion pas rasé depuis trois jours. Tellement candide, qu'elle vous ferait oublier son accent-pudding, Margaret la Ferraille, et le XV de la Rose qui nous fait toujours bien des misères dans le Tournoi.
Oubliez aussi les pulpeuses de ces années-là. La Bardot d'avant, la Sophia, la Gina... Videz de vos armoires à maga, les grandes Ricaines péroxydées, les chichiteuses à Godard. Au pire, ne gardez que J. Maillan, la foldingue qu'on n'oubliera jamais, et la cousine de mon pote qui donnait bien du souci à nos libidos de morpions. Mais elle n'a jamais fait de cinoche, alors l'affaire est close...
En 1976 - année où Dalida est toujours de ce monde ( Rayez aussi de vos tablettes la Ritale enjôleuse ! ) - la lolita du Vilain est solaire. Lumineuse...
Ell a coupé ses cheveux très courts pour fricoter avec Joe Dallessendro, un gaillard maqué avec Andy le Binoclard et Paul Morrissey, un trio sans doute infernal qui attirera de jolis papillons comme le beau Mick ou le non moins pimpant David... Mais vous connaissez l'histoire...
Le Serge à la Tête de Chou, ne s'en laisse pas compter... Vous connaissez l'asticot... Jamais là où on l'attend... Il tripote sa donzelle dans tous les sens ( et je n'exagère pas ! ) et pond une bande musicale qui, ce matin, me trotte dans la tête... Ce que c'est que les associations d'idées...
Bien à vous.

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