mercredi 27 mars 2019

Qu'importe le mélange des genres. L'essentiel est de conserver les " fondamentaux " comme on dit  dans les cercles autorisés. Le vieux polar en Cadillac ( mais est-ce vraiment une Cadillac ? ), la nuit, l'asphalte mouillé ( refusé ! ) la pin-up en robe de cuir ( hein Léo ! ), qui brise les coeurs et pousse au crime. Voilà Boogie, son trench, son borsalino en bagarre, qui sortent du porche, allument une dernière cibiche. Quatre boules de cuir en sueur autour d'un ring truqué ( hein T'it Claude ! ).  Voilà les escarpes, les apaches, dans le Bar-tabac de la rue des Martyres ( hein Hadji ! ), et le tueur de minuit, qui serinent les vieilles. Les flices pourris, et cette vamp que l'on retrouvera à l'aube, morte d'une overdose, le "Dizzy Moods " de Mingus tournant sur la platine, comme le baiser de la pieuvre ( ? ).
Un français sur quatre boirait trop d'alcool nous dit-on à la tsf.
Mais combien,  à c't'heure, écoutent cet album de Roxy ? C'est une bonne question...
Nuits blanches.

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