ouille !!!

Franchement, depuis que tu es partie, je m'andouille grave... Je m'escribouille, me carambouille, et débagouille à toute bise, sur des chemins plus sombres que les traboules du vieux Lyon, et les emplois fictifs du vieux Colomb... Bref, je m'emmerdouille, cornegidouille de cornegidouille !
Du coup, je m'embrouille, je farfouille dans le réseau, mais y'a plus de jus dans les douilles. Sans doute, la faute à l'orage qui m'a surprit sans parapluie, quand, planté devant la pancarte du rdv folklorique des Portugais, je me fendais la bouille, imaginant Amalia devant sa tambouille, ses accras et sa morue en bidouille... Une averse qui m'a trempé la mouille, envasé dans la gadouille de ce monde en merdouille...
Tu me dis que là-haut, au pays des insatiables gloutons, il neige encore... Tu parles d'une contrée ! Pire que la grande zigouille de mon ami Vautrin... J'espère, mon cher Gasper ( ? ) que tu vadrouilles, que tu te débrouilles,  et que tout ne part pas en nouille...
La vie du zoo.