samedi 25 juillet 2020

Hector.

Je m'appelle Hector Gnole ( ou Gnôle ) selon les versions. Déjà que je suis affublé d'un blaze à coucher dehors, il est à parier que le bafouilleur de service va m'en faire voir des vertes et des pas mûres... C'est que l'énergumène ne se prend pas pour la moitié d'un benêt... Il n'hésite pas, le vilain, à faire le paon sur le dos des pauvres gens comme moi, des gentils qui mettent leur masque sans rechigner, qui attendent le lendemain sans faire d'histoires... Ce salopiaud, accompagné de son âme damnée, moustachue,et récalcitrante pire les mégères du marché, n'hésite pas, sous couvert d'anonymat, à dire du mal de son voisin, à railler les politiques, notre bon Président, les chansons d'amour, et les champions de curling qui sont pourtant des personnes bien aimables, tranquilles,  amoureuses des pierres, et des bacs à glaçons (?). 
Je n'ose imaginer les lazzis et autres quolibets que va me faire subir le sombre merle...
A moins, et c'est justement une chance, que le baudet trop occupé à se mirer devant une page blanche, ne vienne à manquer d'imagination... Qu'il chope une extinction de stylo, un rhume de cervelle, qu'il se mette à écrire avec une jambe de bois, ou décide de traverser, en solitaire,  la mare aux canards pour faire la nique aux régiments de soiffards qui encombrent le port, les centres de dépistage, et la Nationale 7, chère au bon Charles ( pas le Grand... L'Autre, vous aviez compris...).
Dieu sait, qu'je n'ai pas le fond méchant. Je ne souhaite jamais la mort des gens (?), mais si le bougre pouvait faire naufrage, couler à pic sur son rafiot, les " internets " ne s'en porteraient pas plus mal...

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