mardi 25 juillet 2023

 Il faisait un vent à décorner les boeufs. Boeufs qui se foutaient du gros temps, occupés qu'ils étaient à lâcher des pets de tonnerre de brest dans le champ du Père Latrogne, pour se venger des viandards qui leur dessinaient un avenir de rôti, patates au four, et haricots verts, comme dans les romans du vieux Jim Harrison. Avenir auquel des antispécistes, adeptes du wokisme, et de la tringle à rideaux en bambou, portaient toute leur attention. Attention ! disaient les docteurs es'bronzette : Ne vous fiez pas aux appâts rances des vieilles anglaises sur la promenade, des vieux grigous en moule-bites, des panzer mamelles teutones qui embarassent le regard, ces gens-là sont les derniers amateurs de la bavette à l'échalotte, ou du Chateaubriand à point, qui désolent tant nos Charolaises adorées. Mamelles qui entre nous, et je ne sais plus qui, non contentes de mettre le bazar dans un Marché célèbre, éclipsent les petits seins menus de donzelles hors de prix (?). Pris dans la tourmente (rappelez-vous, le vent), un pauvre homme chagriné par tant d'avanies (sur la fin, tous les hommes sont chagrins, froissés, et amateurs de viande rouge) écoute sa matrone infidèle qui lui dit : Ne sors pas, il fait un vent à décorner les c....  Disons le tout de suite, pour ne tromper (?) personne, surtout pas le chef de gare, qu'est mon ami, cette diablesse est une vraie emmerd...... 
Brassensophilie (1).
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