Sacrée foutue partie de manivelle ! Je te tiens, tu me tiens par la barbichette, le premier qui bouge un cil, y's'prend un missile ! On n'est pas prêts de s'emmerder sur cette petite planète... Chaque jour qui passe, on valse à l'envers.. L'Orange bleue du poète à la noix prend des allures de pomme pourrie au fond du panier de la ménagère qui tapine devant le magazin pour nourrir sa smala, pendant que les Béberts dépités s'arsouillent au pmu... Va encore se passer des choses sur le grand planisphère. P'êt' bien qu'on va changer l'ordre des pays, bouger les océans de place, les jungles, et les déserts... On peut parier que le prochain père Noël sera un marchand d'armes, un lanceur de couteaux, pourquoi pas une ogive nucléaire ? Faut s'attendre à tout, s'étendre sur la planche à clous, à défaut des verts paturages promis par tous les prophètes enturbannés ou non. L'avenir est un grand jeu de quilles, et vous connaissez la suite... Le premier qui rira aura... Tout va tellement vite sur le fourneau, que l'eau des nouilles ne va pas tarder à déborder de la casserole, faire monter le niveau de la mer, rayer de la cartes des espèces endémiques... "Je pourrais te donner encore, quelques nouvelles du grand Nord... Paraît qu'là-haut tout a fondu, que tous les ours vont cul-nus " braillait dernièrement un chanteur à deux sous... Tu peux toujours chanter, beau merle ! tu n'y changeras rien ! Les voisins du dessus s'équipent déjà, lorgnent sur le bazooka de ceux du dessous. Tous les bonimenteurs préparent en loucedé des révoltes de comptoirs, des bagarres de clochards. D'un trottoir, l'autre, on va se foutre joyeusement sur la margoulette... Vivement le prochain virus ! Qui mettra tout le monde d'accord... L'épidémie fatale qui pourrait nous faire pousser des trompes à la place du pif, ou des écailles sur nos couennes Loréal, parce que je le vaux bien... On reviendrait aux débuts d'avant les marchands du temple. On dessinerait des bestioles sur les murs d'avant les crétineries de Jeff Koons, et ma foi, pourquoi pas redevenir tétards, et grouillots dans la mare d'avant le Grand Zampano... Le gars du voyage plus balaise que le pauvre Kendji.... Le pauvre chou n'étant qu'un aparté dans le grand boyau médiatique, notre actu, fatiguée, s'est alitée... " Tiens vl'a s'l'oleil, on ne l'attendait plus cui-là" chantait le bon François, d'avant le grand chambardement... Que de chansons, mes bons ! Et les plus pessimistes de chouiner jusqu'à quand, il va briller le Monseigneur ? Il rajoutait (le François de chez Pt'it Louis) " J'en suis encore à m'demander après tant, et tant d'années" vous connaissez la suite... Sinon, consultez vos manuels....
Le bonjour chez vous....
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire