Pas de publication aujourd'hui.
Inutile d'ouvrir vos quat'z'yeux,
Vous donnez pas la peine de
tourner la page...
Rien de rien, je vous dis...
Pas de marmelade/galéjade,
Pas de Moustachu rigolard
planqué sous la phrase.
On pense à Fernande
à Mélanie rhabillées
pour l'hiver, comme à des
souvenirs anciens des
jours d'avant les bombes,
d'avant les peuples qui meurent
de faim dans des pays martyrs...
Et nos veines qui se mettent
en quatre, qui saignent et
s'indignent...
Silence, compassion,
honte ou colère, les mots
ne servent à rien.
Plus de "Cette machine tue
les faschistes" sur la guitare
de Woody.
Soyons maudits...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire