jeudi 11 juin 2015

DE QUOI J'ME MÊLE..

" Velvet Godmine " Le vieux cormoran claque du bec... Dites-moi, professeur ne serait-ce pas le titre d'une chanson du beau David... Affirmatif Louis Napoléon...
C'est aussi un film qui raconte l'époque ( 1970-72 ) où le David se sapait en robe de princesse et se tartinait la tronche avec du Nivéa-coke ( la lotion qui fait briller les narines ). On a appelé celà le glam rock. Tous les mecs ressemblaient à Maryline, a Amanda Lear sauf le vieux Mayall qui s'obstinait à souffler dans son bignou avant de s'exiler à Laurel Canyon.. 
L'avertissement du générique précise " Ceci est une fiction, mais montez le volume ". Très bien... On ouvre grand les cages à miel, on se refait le broching et boum badaboum... Voilà la B.O . qui commence par un bout de Space Od et le clone de Bowie qui vacille sur ses compensées de quinze centimètres... La musique vous saute au paf, vous trempe dans la gamelle de Roxy et de son Brian préféré, Marc Bolan fait une apparition remarquée comme Gary Glitter et autres chanteurs sans moustaches... ( Pendant ce temps-là Fletwood Mac tape sur des bambous et Jimmy met en route Grosse Zeppelin... ).
Vous me demandez... Et la peloche dans tout çà... Ben c'est pas si mal... Ca lorgne du côté du " Fantôme du Paradis " ( en français dans le texte ), de l'Orange Mécanique, voire du Barry Lindon, Performance ou du Sous-marin jaune... Ca fait un drôle de mix, mais ça fonctionne assez...
On se barbe quand même un peu sur la fin... Toutes ces références mises bout à bout ( La Factory, l'Iguane, les partouzes décadentes et comme d'ab, la donzelle qui pleurniche sur son passé... Manque plus que la tignasse du pt'it Blond qui rôde autour de la piscine et l'affaire est dans le sac... ).
Pendant ce temps-là le beau Mick et ses Forbans paufinent Exile on Main Street...

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