mercredi 11 septembre 2019

Je voudrais pas vous sembler ronchon, bougon, vieux tromblon, petit patapon - en fait, si, je suis un peu tout ça - mais après la rentrée des classes, des politiks, des totos, des tintins, des zozos, des zinzins, après celle des syndiks, des poussins jaunes et de Drucker qu'est jamais tout à fait mort, on se cogne la rentrée " littéraire ". Les Oteurs, les Otrices, se mettent sur les rangs, et je vous le garantis, y'en a plus que de bestioles sur la barque à Noé, qu'était déjà bien chargée... Ça gigote dans tous les sens... Ça déborde au-dessus du bocal... On n'aura jamais le temps de tout lire... Tu vas me dire, on s'en fout un peu, c'est pas cela qui éteindra nos feux de broussaille... On a d'autres soucis avec Bébert... Les libraires se frottent les pages, et leur dévantures dégueulent d'objets non identifiés par le chaland du coin, obligé de se prendre les panards dans le tapis de sa life bien trop compliquée pour être racontée en trois cent pages, jaquette et service compris...
A toute.

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