dimanche 24 mai 2020

Centenaires...

Le coromusic est un virus qui s'attrape par trop d'addictions, de lèchouilles, de bisouilles, de Dirty Dancing ou de tagada tsouin tsouin joués au fond des bals populaires. Il fait tousser, moucher, donne de la fièvre ( j'ose à peine écrire, du Samedi soir... ), ou des maux de tête, qui clouent au pieu le fièvreux pantin qui se croyait malin, 
Mozartien, Wagnerien,
lilliputien devant le grand Chopin.
Ce clampin n'est plus rien qu'un zinzin,
amateur de crin crin...
Ca vous la coupe hein !!!!
Rien de bien grave pourtant... Il suffit de garder la chambre, d'éviter les Célindionnites, les Bruellites et autres Pagnynites qui deviennent vite des symptômes aggravants. Ne levez pas les yeux au ciel ! Notre Père qui êtes aux cieux, la vie est dure ! (fallait que je la place celle-là ! ), ces petites affections ont le droit d'exister, tant qu'elles ne donnent pas la fièvre à mon cheval... Quelques gouttes de Boogie Woogie mâtinées d'un peu de Ragtime, voire d'une pincée de ce vieux Rock'n'Roll qui sévissaient dans les chaumières, quand on faisait tourner les serviettes, dansant comme les canards de la noce,  suffiront à calmer le mal, et tout rentrera dans l'ordre...
En cas de rechute ( de deuxième vague disent ceux qui nous veulent cloîtrés dans nos clapiers ), réécoutez nos grands Z'Oteurs...  Vous savez bien, ceux qui roupillent au fond de votre discothèque, en attendant le Printemps des Poètes, le Grand soir, ou le Paysan de Paris.  Savourez quelques rimes, quelques pirouettes en sirotant l'apéro de votre choix...
Vous finirez centenaires...

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