< Il se trouva fort dépourvu quand la bise fût venue > A force d'emprunter les mêmes chemins, de cavaler dans les grandes plaines du far ouest ( pardon Yves ! ) tu finis par te gaffer des embûches qui t'attendent au coin du bois... Ici, il faut prendre les bottes, là remettre une pelure... Peut-être que la gapette à Mimile ne serait pas de trop, même si ça fait rigoler les marmottes... C'est pas un voyage en Sibérie non plus, qu'il se dit le baudet. D'ailleurs, fait grand soleil dans le cul de la vieille, c'est bon signe...
Comme de bien entendu ( 1939 Boyer-Van Parys pour les pinailleurs ), les choses ne se passent jamais comme prévu. Arrivé au point G (?), voilà qu'une saleté de vent à décorner tous les cocus du canton ( s'il y en avait encore ! ) met les feuilles de choux en alerte, rougit le pif, et les menottes pire un Bordeaux de derrière les fagots. Merde ! dit notre cigale ( la cigale est fort malpolie, elle jure, et couine comme un grillon mal élevé ! ) on se les gèle, et même pas une fourmi pour me donner refuge... D'ailleurs, hors saison, les refuges, et les gites sont tous fermés, alors va trouver une fourmi ! Ca n'arrange pas notre fable... Le baudet - fort dépourvu, rappelons le - se dit qu'une rasade de rhum serait la bien venue, histoire de chasser le rhume qui s'annonce... Il pense aussi aux Roms de Rome qui ont bien du malheur, mais c'est une mauvaise blague de gitan !
Pendant ce temps-là Pitou fait le zouave à la télé avec ses belles bretelles. Sacré Pitou ! Toujours dans les bons coups...
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