mercredi 23 février 2022

 La littérature rend éternel, quand la réalité tue.
 On raconte que sur son lit de mort, Flaubert eut ces derniers mots
" Cette pute de Bovary va vivre, et moi je meurs seul comme un chien "
Je trouve que le Gustave n'est pas gentil avec les chiens, et malpoli avec les dames...
D'un autre côté ( celui que vous voulez ) un monde rempli de Bardamu, de Cosette, de Lantier ou Marlow, vaut bien celui où des guignols s'agitent devant la boulange parce que le four est en panne. Un gentil pleurniche ses croissants du matin, un maestro sa baguette, tandis qu'un méchant menace d'envahir la contrée avec une troupe de mitrons roulés dans la farine (?).
Laissons donc les " personnages " Père Durer, comme le Père Niflard du Bombé ( c'est du grand n'importe quoi ! ) au delà de nos corpus ramollos. Ils ( les personnages ) nous rendent la vie plus croustillante.
Mes préférés restant le Baron de Monstatruc, et son valet Brancouillu en leur château de Montalier.
Faîtes ce que vous voulez avec les vôtres...


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

 H                                                                                                           U                              ...