samedi 3 septembre 2022

Cold case...

Nos services d'investigation ( empreintes, graphologie, traces de sang, de sperme, de morve, rognures d'ongles, cheveux, et tout le patacaisse qui laisse des traces dans une chienne de vie ) sont sur le pont... Comment une lettre datée du 24/07/1998 a-t-elle ( ou attelle, c'est rigolo ! ) pu échouer dans les pages d'un bouquin ( S. Liberati : Jayne Mansfield 1967 ) emprunté à la bibliothèque municipale, lieu de perdition par excellence, pour finir pattes de mouches, gribouillis à l'encre délavée par le temps... Le mystère reste entier, et nous n'allons pas trop nous étendre là-dessus. Le soufflé n'attend pas... Nés en moins de temps qu'il n'en faut, nos services sont formels. Un premier examen du torchon dévoile les pleurnicheries amoureuses qu'un certain Michel adresse à une Adeline. Il a dessiné son nom sur une plage ( c'est ce qu'il prétend le Mimi ) et crié son nom, pire un basset artésien en rut devant une girafe (?). Cette blague Cupidonesque ne fait l'objet pour l'instant, d'aucun soupçon, d'aucun délit, qui entraîneraient une recherche effrénée du baudet, ou de sa baudette... Mais soyons sûrs, que nos fins limiers sauront bien trouver quelques malveillances dans cette bafouille, avant que le fameux soufflé ne retombe...
Cold case ( 1 ).


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