Soyons clairs pire l'urine d'un nouveau né. Quand le prince charmant se transforme en crapaud, c'est qu'il y a maldonne dans le quartier. Et n'imaginez pas qu'une princesse de banlieue viendra lui rouler la galoche qui ravalerait sa façade, mettrait de l'ordre dans ses pustules, comme le prétendent les raconteurs d'histoires à dormir debout. Ces gros menteurs qui transforment les citrouilles en carrosses hybrides fabriqués par des chinetoques qui manifestent devant la case de l'Oncle Xi, ce con finement dictateur, vu que Shéhérazade et ses émirs, renâclent sur le prix du pétrole, et l'indice de satisfaction des dromadaires Qataris dans les fan zones. Les reines des neiges, et autres mignonettes sont occupées ailleurs. Elles tik tok à donf, deviennent complètement ouf, ( Ah, le beau langage ), sur les écrans des petits nains sans boulot, s'habillent en Prada, ou en Camailleu, selon leurs moyens, font du rap, défilent pour ou contre la castration chimique du climat... Alors, un crapaud qui croasse au bord de l'étang, pendant que les poiscailles se foutent de sa gueule, ça ne les fait pas monter en choucroute, qui rappelons le, garnie à souhait, relève la triste assiette du prolétaire.

 Un loup qui passe par là, en devient chèvre. Et comme d'hab, Monsieur Seguin ne voit rien venir... L'est bien aussi benêt que sa soeur Anne dans sa barbe bleue. C'est la morale de l'histoire.

Contes à rebours.