jeudi 9 novembre 2023

 Dernièrement, un lecteur attentif, assidu (et magnanime) me faisait remarquer fort à propot (de chambre) que ma plus belle page d'écriture, ma grabouille la plus réussie, était certainement cette absence (voulue ou non ?) de texte le 1er Novembre qui mit au repos les neurones des ceusses qui journellement, lèvent les yeux devant mes bagatelles, vibrionnent des mandibules, ou soupirent comme les enfants de choeur, mais feraient mieux de se coltiner l'intégrale en chansons de Qui vous savez ( ce prosélytisme est de bon aloi, même s'il a mauvaise réputation !) ou de se taper sur le ventre avec notre Kommissaire bien aimé. Une liste de recommandations serait mal venue, puisque votre serviteur, toujours à cheval entre deux bourriques, hésite souvent entre les chants de Maldoror, ou les aventures de Bibi Fricotin, et préfère laisser le libre choix à chacun,et chacune...Les coups et les douleurs, ça ne se partage pas disait un humoriste du siècle d'avant.
 N'empêche, le bougre m'a mis la puce à l'oreille, pire un Palestinien devant un plan de paix... S'il avait raison ? Si mon piaf chantait faux ? Comment transformer une pissotière en Fontaine, une pipe qui n'en n'est pas une ? ¨Plutôt que de tartiner de confiote indigeste vos journées déjà bien chargées, ne devrais-je pas, chers voisins, me consacrer à l'étude du monochrome, aux Haïkus, ou aux aphorismes secs, et couillosifs ? Combat de nègres pendant la nuit (1882), ça ne vous laisse pas rêveurs, chers abonnés ?
Je vous embarasse très fort.

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