Le Dimanche c'est people et mots flèchés !
Apéro et Rouletabille ( ? )

L'info de ce siècle pas très folichonne ( tsunami en Indo, pièges à piaf en solde, guerres à la carte, dérèglement zigomatique etc... )  nous incite à rester sous la couette des couples mythiques,  mi-raisins... 

Edith et Marcel, Yves et Simone, Arthur et Marilyne, Richard, Liz et les autres... Yvonne et Charles De... Le Moustachu et la Jeanne dans la fornication adultérine, John et Yoko, Sylvain et Sylvette... Louis et les yeux d'Elsa, le Castor et le binoclard... Tintin et Milou et patati et patata ( qui ne sont pas  en couple, seulement qu'on en a marre ! ). Vous rajoutez qui vous voulez. Je vous fais confiance, chacun son picotin...

" Nous étions jeunes et larges d'épaule " ( B.L. ) et les filles portaient la mini cooper au ras de la mini-jupe. " Mini mini mini, tout est mini dans notre vie " et Lanzman faisait de Dutronc notre pote de chambrée... Dany le Rouge était encore " juif-allemand " dans les cafés-fumeries où Laurette et Aline braillaient que Capri c'était fini ! Cuit ! Et comble de vieille godasse ! les riffs de Keith nous tournaient la tête... Celà suffisait à notre bonheur. On n'imaginait pas encore la suite...

Satisfaction mon vieux Léon.

Tu leur diras qu'il est parti en vacances. En cure de désintoxe, en voyage dans les iles ou sur la lune... Qu'ils ne s'inquiètent pas. Rester vivants sur le radeau doit être une priorité. Même si le raffiot vient à tanguer, doivent faire comme les copains, ramer en chantant ces chansons de marins qui donnent force et courage. Notre Ami à tous prétend que " tous les morts sont des braves types ". On peut le croire le farceur, lui qui souvent a fait des pieds de nez à la Camarde...

Quelques cendres dans le remous, ne doivent pas leur gâcher la vie...
La Boite à Dominos.

Salut ! Moi c'est
Charly !
N'est plus de première jeunesse le Charly...
Doit avoir des rhumatismes, des ratiches manquantes,  des poils dans le pif.
Des petits-enfants, des dettes aux jeux de l'amour et du hasard...
Mais consolons-nous, il garde toujours la banane !
La Boite à Souvenirs.

Zappatistes ( Zappaistes ? ), Zapataïstes, Zavattaïstes ( ? ) de tous les pays, zombies du petit matin bien haut perchés, zazas, zazous dadas, amateurs de bidets et de lavabos, abimés du bulbe et penseurs pensifs,  réjouissez-vous ! l'ami Franck fait l'objet tous les matins, d'une étude tirées par les vers du nez, d'une exégèse ( ? ) complète de son oeuvre, racontée par les Nimbus de Rance Zizique - ceux qui parlent comme votre médecin de famille quant il remarque des taches bizarres sur Radio Eponges - et ma foi, chacun y retrouve son latin, et sa t'ite messe, car comme le dit l'adage bien connu : Sans le latin... Sans le latin...

Pour les pégreleux comme nous, ceux qui portent encore fièrement le bas de jogging et des marcels sur leurs bras maigres, ceux qui ont assisté à l'éclosion des Mothers, et au référendum du Général, ceux qui vous dirons, levant le petit doigt, que derrière les deux Turtles qui vocalisent dans ce Live mémorable, c'est Aynsley Dunbar qui tient les baguettes, eh bien, ceux-là, ne vous étonnez pas qu'ils applaudissent des deux tongues, et qu'ils revendiquent leur place dans l'histoire...

La Boite à Musique.

Ne me dites pas le contraire...

Quand le berger, tout seul dans les alpages - ceux qu'on voit sur les boites de reblochon - a fini de compter ses brebis, quand il est descendu au ruisseau faire boire les clebs, qu'il a tapé la discute avec une marmotte revenant du marché, qu'il a vu trois couchers de soleil et les cartes postales qui vont avec... Eh bien... Le berger s'emmerde...

Comme l'hôtesse de l'air pendant le vol Paris-Singapour sans escale...

Comme le curé pendant la communion des fidèles...

Comme le robinet qui goutte...

Comme Mézigue qui ne sait plus sur quel pied danser...

ET PIS C'EST TOUT !

- Je suis comme le Pinson de Darwin. On ne me trouve qu' à St-Frusquin entre le Panier Fleuri et la Glacière. Que voulez-vous, chacun ses Galapagos !

- Certaines personnes de ma connaissance pensent que je ne m'intéresse à rien...  Que je ne serais qu'une espèce endémique qui ne penserait qu'à son plumage, et à ses fins de mois...
Peut-être...
Mais à l'inverse, ce qui m'intéresse,
intéresse peu de gens...
Pas besoin d'être un piaf, pour s'en rendre compte...

LEPIDOPTERE FLOU
( PYRALE )

- Je n'aurais jamais pensé, que de mon vivant, je rencontrerais des gens qui ne connaissent pas les Beatles -

P. M. C. Interwiew France Musique. Après avoir visité une école dans le Nord de l'Angleterre.
                                                                             ... / ...

- Je n'aurais jamais pensé, que de mon vivant, je rencontrerais des gens qui ne connaissent pas Georges Brassens -

J. L. P. La Boite à Musique.

SANS TITRE...

J'attends la factrice. Je n'ai rien d'autre à faire... C'est une grande et belle femme des années quatre-vingt, dotée d'un sourire de blonde, bienveillant avec les gens comme moi. Elle ne m'apporte plus de courrier depuis longtemps, mais à chacun de ses passages, lève les yeux vers le perchoir, et fait un signe au vieux corbeau incrusté dans la fenêtre comme ces trompes-l'oeil qui couvrent les murs des villes du XXe siècle.

Je sais qu'un matin, si le temps le permet - ce pays est une vraie catastrophe climatique - je descendrai l'escalier, les poils lustrés et les crocs bien propres, et lui tendrai la patte comme le chien bien élevé que je suis devenu après toutes ces années de niche et de chaîne...

PYRALES...

Le Sergent Poivre est reparti pour de nouvelles aventures, avec sa fanfare et une armée de mercenaires vinylisés bien décidés à conquérir l'Helvétie... Restent quelques papillons qui viennent s'échouer sur nos coeurs solitaires, et Lucy qui, dans son foutu ciel de diams, se demande bien quand va se terminer cette invasion de bestioles qui font caca sans vergogne sur les pare-brises de nos carrioles...

Que le ciel nous tombe sur la tête...

PSG

Des footeux chevelus comme ça, y'en a plus beaucoup...
Font sûrement partie de l'Ancien Monde...
Jouent les barrages avant le coup de sifflet final...
My sleepers will flee toward another America "
Jean Genet.
Paf ! Dans la lucarne !

LA VIE DES AUTRES

Oui, tu comprends+++Toujours téléphoner et puis
on n'y pense plus++++Prendre des nouvelles++++Ca va
J'y vais plus que toutes les six semaines+++Et vous ???
Margarethe et les enfants++++La rentrée s'est bien passée
Tout va bien++++ Ouais, la sécheresse++++Jardin++++
Toujours pas de pluie++++Oui demain++++Ne t'en fais pas++++
A bientôt++++
Samedi 15/09/2018
14H32.

1969

PUTAIN DE MOINE !
C'EST LA JOURNÉE DU PATRIMOINE !
Les Trois Baudets.

LA ROUTE...

Non d'une croquette !
Me vl'a bien seule
Su'le'tas d'cailloux...
Je pioncerais bien un t'it coup,
mais la route est encore longue....

CROCO...

- N'insulte pas l'alligator avant d'avoir
  traversé le fleuve...
  Proverbe Africain.
  Je suis pas sûr qu'il y ait des alligators en Afrique... Mais la morale est sauve ( ? ).

ELLE DANSAIT...

France Musique annonce ce matin que Rachid Taha a replié son burnou et rendu sa " Carte de Séjour "...

Cà me fait souvenir d'une époque où t'ite Gatoune écoutait à donf " Rock el Casbah " dans toutes les positions et par tous les temps... J'avais beau prendre mes airs de vieux bédouin sentencieux, secouer mes babines de chameau pour expliquer à la donzelle que cette reprise était une chanson-phare des Clash - un band qu'elle ignorait superbement, privilège de la jeunesse  - que Mick Jones avait gratté un chouïa et participé avec Steve Hillage, ce néo-baba qui avait traîné sa guitare partout,  aux arrangements, la belle s'en foutait comme de son premier flirt... Elle dansait... Elle dansait... Et c'était  bien l'essentiel...

La Boite à Musique.

... / ...

Bon, ils se méfient aussi... Laissent toujours un kikimerde devant la porte pour faire le pet, des fois que les vrais manouches qui zonent sur la lande viendraient leur piquer leurs poules et leurs transistors ( ? ). Feraient une razzia sur la chnouf, sur leurs enjoliveurs, leurs banderoles " Allez les Bleus " et la carte d'état-major du Maréchal que leur a refilé  l'oncle Archibald, un ancien du Tonkin, collabo méritoire ( ? ) qui fait tache dans la famille -  Guiguitte au milieu d'un camp de gitans - mais qu'on aime bien quand même depuis qu'il marche avec la république.

Z'ont le ventre plus gros que les yeux, les vergetures en bandoulière et la conscience tranquille de ceux qui ont bien mérité de la Patrie. Pensez ! Cotiser pendant un demi-siècle à la gabelle, s'en aller au chagrin pour nourrir des lardons qui pensent qu'à dire du mal de vous ( les z'ingrats ! ), des jeunes cons qui - vous vous en doutez - deviendront des vieux cons, et se fader Nana Mouskouri, et le Grand Charles pendant une décennie,  ça mérite bien qu'on s'endorme peinard entre ses deux orteils ( pourquoi pas ? ).

Les fieffés ne sont pas aussi coquins qu'on le croit... Feraient pas de mal à une mouche, sauf si cette conne s'installe sur leur claquos pour assurer sa des-cendance et la pérénité de Jean-Paul, le binoclard écrivaillon... Et là, je dis d'accord ! Les bestioles qui font chier le voyageur jusqu'au fond de sa moustiquaire, méritent pas de vivre ! Comme les bamboulas, les barbus, les concierges et les agents du fisc ! qu'il rajoute Marcel dans son tricot de peau, en touillant le pt'it jaune qui rend fou...

Pour être plus franc que le vieux Clovis,  je dois vous avouer que je m'en moque un peu de ces gugus. Peuvent bien faire des tournantes dans le parking, saloper le gazon et faire des paris sur l'avenir, c'est pas moi qu'irai gueuler à la Kommandantur. D'autres s'en chargent allègrement. Mais ce matin, je suis de mauvais poil, bourrin et mal peigné... C'est la bonne occase pour ronchonner sur tout et n'importe quoi...
Fin.

... / ...

Ils arrivent des quatres coins du pays. En couple et en camping-cars. Tous des pékins qui ont connu Adamo jeune... Vous dire la tranche de cake, la chantilly plus très fraîche...

Se mettent  illico en troupeau. En cercle, bien rangés pire les bestiaux du salon de l'agri, quand le Président vient leur tâter les miches... S'installent comme les diligences du Phare Ouest ( pourquoi pas ? ) quand les indiens et autres sauvages de migrants menacaient l'ordre établi avec leurs sarbacanes, leurs flèches,  et leurs radeaux à deux balles...

Déplient leurs fauteuils en toile, leurs tables en formica et leurs chiottes chimiques, que quand tu fais ton pissou du matin, t'en fous partout. A noter que le ( pissou ) du soir, c'est encore pire... L'apéro fait jamais bon ménage avec les tireurs d'élite, c'est bien connu...

Voilà nos baudets installés autour du barbuc cancérigène pire les clopes à Ginsbarre, qui tchachtent comme s'ils étaient tous cousins. Tous " gens du voyage " un oeil sur la téloche porta, l'autre sur le décolleté de Jeanine qu'a pris bien du tangage depuis l'an passé. " Vieillir, c'est mourir un peu " soupire Mézigue paraphrasant je ne sais quel poête à la noix ! Paraît que " partir " c'est le même tabac, toujours d'après l'autre bredin à rimes. Je n'en sais rien, j'ai raté le concours d'entrée à l'Académie...

A re-suivre.

RONCHON

Faut bien le dire ! Après les motocyclettes furibardes, les Brando de pacotille, les rois du cuir et du quatre-temps, qui nous les ont brisé tout l'été, voià un nouvel arrivage de " nomades ". A croire que plus personne ne veut rester chez soi bien peinard devant la météo ou le télé-achat. Toujours à vouloir trimailler ailleurs ! A voir de nouveaux horizons, à lorgner des monuments construits par un empereur Bise-en-train ( pourquoi pas ? ) qui a servi depuis au régal des asticots, qui eux-même ont fait le quatre-heures des t'its mulots, eux-même becquettés par des renards dont on a plus de nouvelles depuis longtemps ! Le cycle naturel paraît-il... Alors pourquoi s'obstiner a goûter des machins exotiques qui foutent la tourista et d'autres casse-croûtes tarifés qui foutent la chtouille ! Je vous le demande !

Une histoire d'herbage et veaux paraît-il... La transumance des totomobiles sur les totoroutes, les deux mamelles du toutmerde en goguette ! Celui qui se rend pas compte, un oeil sur le ciel, l'autre sur le Gps, que partout, les nuages, les cascades, les vaches et les moustiques sont les mêmes. La rincette de Zamzibar ou celle de Petaouchnock, elle te mouille pareille... Une fois que tu as posé le pied sur la lune ou sur une crotte de bique, t'as fais le tour des curiosités...

Moi je dis qu'à force de faire tant de chemin, on finit par se perdre. Qu'on ne sait plus dans quelle écurie on loge, et c'est néfaste pour le patrimoine du Stéphane qui nous berne, et pour la poussière qui s'accumule comme disait celle du Pape ( ? )

A suivre...

ECHANGE

FOU FURIEUX
CONTRE
FOU DE VOUS...

GUS

Je ne dis rien quant il m'écoute,
Et s'il me regarde,
Je fais celui
Qui
N'entends pas.
C'est vrai que sous
l'arrêt de bus,
On est de drôles de gus...

BUS

Je ne réponds pas quant il ne dit rien.
J'évite de l'ouvrir, quant il se tait...
C'est pour cela que l'on s'entend si bien.
Assis l'un, l'autre sur le canapé.
Dans le silence crépusculaire ( refusé ! )
d'une toile d' E. Hopper,
comme
Deux,
qui attendraient la dernière nuit,
le dernier Bus.

MANU DES SOURCES...

A force de chasser le cochon de payeur pour en faire boudin, d'imposer taxes, surtaxes et magataxes sur les bourses du pôvre retraité, Manu a réussi son coup...

Quand le baudet - saigné à blanc, qu'on en ferait facile du saucisson - a bu toute sa pension de minable, comme le braillait le grand Belge, reste plus grand-chose à " retenir à la source "... T'as beau retourner le larfeuille dans tous les sens, elle est tarie la source ! Et Manon, la cheftaine de Bercy en est toute marrie ( zotto )...
Ugolin.

QUINZE BALLES !

Moi qui suis moitié en ruine,
J'aimerais  qu'on me gratte le patrimoine !
Qu'on me colmate le bénitier, la sacristie,
et la tonsure !
Qu'on défroisse mes enluminures !
J'ai bien des meubles à restaurer,
des tabourets qu'ont plus qu'un pied !
Des parchemins tous déchirés,
un rouquin.
Une pipe à pépé...
Le Merle Moqueur.

HISTOIRE BELGE ( Suite )

Ah... Qui nous dira à quoi ça pense
Un taureau qui tourne et danse,
Et s'aperçoit soudain
Qu'il est tout nu...
Ah... Qui nous dira à quoi ça rêve
Un taureau dont l'oeil se lève
Et qui découvre les cornes
Des cocus...

HISTOIRE BELGE

Ca ne ratait jamais ! Quand l'automne pointait ses feuilles mortes et dressait les premiers poils des moutards en partance pour la censure sociale, il soufflait au fond de sa tête une douce brise " Brelienne "...  Des vaguelettes de chansons, des rouleaux de mots qui venaient s'échouer sur sa plage de Knotte-le-Zoute... L'Homme de la Mancha entrait par effraction, s'installait sous la pendule ( qui dit oui, qui dit non ) et d'un coup prenait toute la place. Il lui venait des envies de connaître Bruxelles, Bruges ou Amsterdam, ces ville rêvées où il n'irait jamais, d'enfourcher un char à voile pour se coltiner avec le fameux Far-West qui avait tant remué le Grand Jacques, la solaire Barbara et leurs indiens...

Entre une balade en forêt et quelques accords d'une guitare mal accordée avec l'époque, il chopait une grippe qu'on ne soignait pas avec du vin de messe et des incantations véganes... L'Oncle Benjamin rotait à la face de tous les trouducs nationalistes, de tous les sermoneurs en robe de bure ou en burka, une valse à mille temps qui ne durerait  que l'espace d'un instant...

A la première neige, il renfilerait ses pantoufles, flatterait ses matous et, la moustache-gitane au coin du bec, il se souviendrait,

de toutes ces belles passantes

que l'on n'a pas su retenir...
Mais cela est une histoire Sétoise non ?

RENTREE

Depuis deux mois, la rue ne swinguait plus... On avait perdu le groove, le bruit des claquettes et des cartables qui sloppent dans le dos de la New Army...
Des mots à deux balles... Des chansons de quat'sous...
Voilà, c'est fait.
C'est la rentrée...
L'Instit.

HISTOIRE SUISSE

Le manchot de Moravagine m'a réveillé au milieu de la nuit en gueulant que c'était pas normal... Que s'il avait connu la légion, les tranchées, la bouillasse de la première pouillerie, les poux et ses potes qui tombaient comme des mouches, c'était pas pour des clous ! Qu'il méritait un peu de reconnaissance dans cette " rentrée littéraire " pleine de manchots pleurnichards qui racontent leurs angoisses, leurs états d'âme passque papa couchait avec la bonne pendant que maman chassait les grands fauves entre Nation et Bastille ( ? ).

- Quand je pense que j'ai pondu une " oeuvre " avec un seul bras et un dictionnaire, courut le monde tout de traviole, et qu'aujourd'hui, on adule l'autre chocolat suisse de Federer - un type qui serait bien incapable de faire un ace avec une seule paluche - parce qu'il est un as de la raquette, ça me troue la gabardine ! a bougonné le vilain...

Rodgers, du fond du cours, s'est fendu d'un revers lifté dont il a le secret, s'est préparé une fondue entre deux sets, en disant que la littérature c'étais pas son truc, et que pour arriver à un tel niveau dans son "sport", ça lui avait coûté un bras et quelques vertèbres... 

" Match nul " que j'ai soupiré en tentant de me rendormir. Rajoutez à cela qu'une nana embrassait à pleine bouche le soldat inconnu, en susurrant " Jeux de mains, jeux de vilains " vous admettrez que mes nuits ne sont pas simples...

Morphée.

! ! ! !

- Je zappe, je zippe...
- Je claque, je clique...
- Flic, flac
- Et floc !
- Que le grand cric
                                                  me croque !