On apprend dans les gazettes que le Poupou de Sibérie, le Rouquemoute "Trump la mort", le Javier "foldingue de la pampa", sans oublier le Chinetoque "muraille qui sommeille", bref tous ces z'oiseaux de malheur, ont le vent en poupe. Ils nichent, pire le coucou dans les nids de l'Absurdistan, et couvent un chambard de tous les diables.
A l'inverse, le Courlis à bec grèle est déclaré "espèce complètement disparue". On aurait croisé le dernier rue de la désolation, piaillant que dans ce monde de brutes, avec toutes nos conneries, on finira bien par perdre, le Tigre d'eau douce, le Hérisson à plumes, et la Menthe religieuse, espèces en voie de disparition aussi
C'est dommage. Le Paradis terrestre se barre en nouilles...
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