me pardonne,
ces quelques rimes
ces quelques vers...
Je sais bien qu'il y a maldonne
dans l'inventaire de
Prévert...
Dans celui de Maître
François,
Frères Humains vous
qui mourrez...
Je vais,
d'une écriture de chat
sur des chemins mal
embouchés...
Voilà le mal est fait. Mon pauvre ami ! Tu peux toujours demander pardon à qui tu veux ! Une telle bouillie ne mérite aucune excuse... Aucune explication fiable... Aucun alibi ne tient la route... Inutile de te secouer les grelots plus longtemps... Il ne faut pas écrire ce genre de chose, pas la penser, encore moins la publier... Je vois déjà les assidus lecteurs se pincer le nez, en détournant les oreilles... Si encore tu avais pondu une " chute en flûte ", un mélo à vélo. Si tu avais gribouillé quelques mots sur " La vie des pianos dans les gare sncf... " On aurait compris. Mais là non... Désolé... On demande le remboursement immédiat pour vice de forme, malversation, défiance et abus de confiance...
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