Ces pauvres gens perdus dans la glaise des éléments en furie... On peut échafauder tous les scénarios possibles, imputer la faute à Pierre, ou Paul, regretter la folie des hommes à défier cette nature, par nature hostile. Les morts, et les disparus (c'est la même chose non?) s'empilent en mikado dans les rues ravagées - les plus malins parlent de dystopie, ce terme tellement à la mode - quand d'autres prédisent l'Apo, la mise en croix des gogos qui ne demandaient qu'à sécher leurs serviettes sur la plage (?).
Et ces autres pauvres cons qui se préparent à se plonger dans un océan de merde... S'inventent des ouragans, et autres typhons pour secouer la maison... Parce que leur démocratie serait en danger, qu'un guignol Trumpiste les fait danser sur les braises encore chaudes du Capitole. Ca va souffler fort dans les urnes... Souhaitons qu'une jolie tramontane chasse les flatulences Donaldiennes... Rien n'est moins sûr, ces Ricains, qu'on a tant aimé (pour des raisons personnelles) ne font plus rire personne...
Parlez-moi d'amour, redites-moi des choses temdres...
Et pis c'est tout. C'est bien le moins...
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