jeudi 31 août 2017

URBAIN...

- IL NE FAUT JAMAIS CROIRE LE DIABLE MEME QUAND IL DIT LA VERITE...
Sacré Saint Thomas !!!
Un gars qui croyait que ce qu'il voyait... Vous voyez ( ! ) le genre... Me faites pas d'entourloupes... Les lessies pour des vanternes, c'est pas pour ma pomme... c N'empêche, quand je lis les aventures de ce pôvre Urbain Grandier, le cureton de Loudun, qui a fini au barbuque ( ? ) accusé de fricoter avec le barbu et les t'ites nonnes possédées du couvent, je me demande dans ma ford intérieure ( ouais je sais... ) si on a vraiment avancé.. Si les spoutniks, Nabilla ou la face cachée de la lune nous on fait progresser dans la connerie...
Les zozos de ce temps-là, accablés par les guerres, la famine, la peste et toutes les autres joyeusetés de la vie, trouvaient rien de mieux pour combler leur vie de merde, d'imaginer des bataillons d'anges déchus et de Belzébuths qui se goinfraient sous les jupes des drôlesses, leur faisaient faire des trucs inavouables... Les bougresses laissaient tomber la liturgie pour s'en aller faire les soldes moitié à poil en chantant des paillardes ( ca on n'est pas très sûrs... ) Vous dire les tracas de l'inquisiteur...
Les évènements d'aujourd'hui résonnent d'une drôle de façon...
Les cinglés du Califat, les missiles fin prêts et le déluge qui noie les cow-boys, avouez qu'on n'est pas loin des temps du grand satan...
Si ces évènements vous chagrinent, vous filent la courante et vous empêchent de faire pot-pot normalement, écrivez à Saint Thomas qui jettera un oeil sur le bazar et transmettra à qui de droit...

mardi 29 août 2017

LA LA LERE...

1 )  Comme vous z'êtes pas benêts et attentifs aux choses, vous le constatez comme moi, notre joli mois d'Août tire à sa fin... On va se retrouver entre nous... Je sais c'est pas correct de pas s'ouvrir aux z'otres et patati et patata, mais moi, quand faut que je gare mon vélo en double file, je ronchonne... Y'a bien encore quelques retardataires... Des qui hésitent à rentrer au moulin, qui regrettent déjà les belles heures passées sous la cascade - que l'eau est quand même achement froide a dit le petit Benoît venu tout droit du Pas de Calais avec son ami Bidasse - On croise encore quelques marcheurs ( pas ceux de Manu heureusement ! ) à chaussures à clous, le nez sur la carte ou le gps qui s'étonnent que le chemin indiqué à droite se fasse la belle à gauche... C'est qu'on est des farceurs dans le coin ! Vous dire... On marche sur la tête...
2 ) Y'a des kolchiques ( ? ) dans les prés, des mûres sanguines dans les talus, des autochtones débraillés qui cavalent après les champis et votre serviteur qui comme tous les ans, garde le chien de la famille... C'est un klebard de ville... Un aristo du bitume et des croquettes parfumées... Alors quand je l'emmène voir ailleurs si l'herbe est plus verte, vous verriez sa tronche... Les veaux vaches et couvée, les korbacks en rase-motte et les fossés pleins de bestioles, c'est pas sa tasse de thé... Sans compter ses congénères, des rustiques qui viennent lui renifler le joufflu sans même avoir été présenté...  Me dit rien, mais je vois bien que pour lui, c'est pas des vacances...
3 ) Entendu à la TSF un conseiller de Jupi se plaindre de trop de boulot... Les larbins de Manu trouveraient même plus le temps de pioncer un coup à la machine à café... Moi je dis qu'ils devraient réformer le code du travail... Ils sont prêt du bon dieu, qu'ils en profitent... Pourraient instaurer la journée de deux heures, la mer à la montage, comme le suggérait le vieux Boris... Mais au fond, c'est des bourriques qui comprennent rien... Des aristos du bitume et des croquettes parfumées, comme mon cabot...
4 ) Allez , Zézette ** on fait la pisse, le crotou et après on attaque la falaise ! Fais-moi aussi penser que je mate si ma pension est arrivée...
** Les noms ont été changés...

lundi 28 août 2017

JE POISSE...

- Interruption des programmes - Suspension d'une partie de l'activité - Réduction de personnel. La nouvelle grille de  rentrée s'annonce kaotique ( ? ), bafouilleuse et un tantinet crapoteuse... La troupe est fatiguée - tout ce temps en Etat d'Urgence ( soixante années bien tassées ) -  et la campagne à venir pourrait s'enliser faute de pious-pious sufisamment motivés... Les bougres ne pensent qu'à retourner au pays, qu'à reprendre leurs activités une chansonnette sous le bras, plus concernés du tout par la fuite du temps, les affres de l'économie, les bagarres de rues et le déluge au Texas... 
L'alerte Canicule déclanchée par les autorités fait chauffer le ciboulot du gourbi... On craint les coupures d'eau et d'inspiration... Mettre le pinard au frais devient une nécéssité et le fond de la poubelle bourdonne de bestioles qui sont pas dans le manuel... Faut voir comme ça carbure dans la chambrée...  Les mouches qui piquent, les moustiques qui pètent, et Manu Jupi qui dévisse dans les sondages... Me dites pas que c'est normal... On sortirait faire ses courses à poil si le guet n'était pas si pointilleux sur le protocole et les valseuses à l'air...
Quand j'entends des balourds qui prédisent une " rentrée chaude ", je trouve qu'ils se cassent pas le bonnet... Y'a juste à consulter le thermo pour en être convaincu ( cul cul )... Faudra demander à Jean-Luc ce qu'il en pense...
Je vous embrasse pas, je poisse...

dimanche 27 août 2017

MERLE..

Il y a des matins sans musique, comme il y a des jours sans vin, des vies sans amours et des chom'dus sans illusions... Des matins où le processus s'inverse... Le moindre zozo qui, dans la rue sifflote le grand air de Carmen vous fait dresser les poils... Le plus petit klaxon - fût-il à trois tons, rital Gelati Motta, Nino Rota - vous arrache les oreilles... On fatigue des tympans ( pans pans... ) et l'on assistera pas aux répétitions de la fanfare municipale... Pas de cornes de brume... De guitares querelleuses, de tambours tam tam... Pas même les boucles frapadingues Tangerine, les moulins à prière deviennent plus insupportables que les chants révolutionnaires... Les garçons adorés au bord des piscines ados, semblent 
absents, devenus aphones, comme la goualante des pauvres gens... Et si vous entendez un merle moqueur... Cherchez pas... Il se moque...
Bon Dimanche à vous.

samedi 26 août 2017

C'EST UNE BLAGUE...

 - Je voudrais  être un fauteuil dans un salon de coiffure
   pour dames...
                                                    

vendredi 25 août 2017

RESULTATS...

J'ai eu un dix de pique en écriture... Un oeuf ( rions un peu ! ) en récitation...
Un grand-huit en fête foraine et un petit sept en contes et nanisme...
Un six parce deux fois trois... Un cinq en Cavaliers de l'Apocalypse...
Un quatre roues motrices en bagnole tout terrain...
Un trois en mousquetaires qu'étaient quatre en vérité...
Un deux et deux qui font quatre comme les mousquetaires...
Un Hun en invasions barbares...
Et bien sûr un Zéro de Conduite en amour et en Jean Vigo...
Rh'eusement " Amour et Jean Vigo " étaient des matières facultatives...

jeudi 24 août 2017

SYNCLINAL...

T'as vu... Te voilà sur l'écran...
Faut dire que t'es mon morceau de montagne préféré et que ça me change des pin'ups roudoudous qui me font bisou-bisou quand j'ouvre le machin... Tu vas me dire " montagne " c'est vite dit... Tu n'atteins pas des sommets non plus... On verra jamais des sherpas enturbannés ou des alpinistes enragés te grimper sur le dos... Pas d'aigles royaux ni de vautours déplumés pour te survoler... Sauf si l'on admets que les zozos en " para-pente " se transforment en piafs quand ils s'élancent de la falaise... Mais ça, y'a que les z'hommes pour s'imaginer qu'ils volent... Voyez ce cucul d'Icare... Pas d'ours, ni de puma non plus... Peut-être quelques marmottes qui pioncent, qui prennent le soleil et respirent le " bon air " comme on dit dans le bistrot de la mère Tatzi... Bref, on frise gentiment un petit 1500 mètres, un dénivelé de retraité... Moi ça me va bien, déglingué comme je suis...
Tu sais quoi ? Mes services de renseignements qui opèrent entre la rue des Demoiselles et la place Henri Michaux ( si ! si ! on a une place H. Michaux ! ), me disent que là-bas chez nos cousins d'Amérique du Nord, les bouffeurs d'orignal et amateurs de sirop d'érable, j'aurais quelques lecteurs... Je les remercie de leur attention... Moi qui jacte le français comme une vache espagnole, j'imagine les efforts qu'ils doivent faire en ouvrant leur " tablette "...
Y'a un dingo de géo qui m'a dit que t'était de type synclinal... Je le crois volontiers... Moi je suis bien de type-ographe... Y'a pas de sot métier !

mercredi 23 août 2017

BLA... BLA...

- Si tu trouves des plumes de piaf dans l'allée c'est que le matou n'est pas loin...
- Et si ton coq fait la tronche parce qu'il manque une poule dans le cheptel, c'est que le goupil est passé par là... Ainsi va la vie...
Voilà nos deux baudets qui philosophent... Rivalisent de banalités... Des t'ites phrases qui s'enroulent peinardes dans la converse entre deux calvas et la Une du canard qui annonce la tempête... Un peu plus tard, ils parleront de Machin qu'est mort dont ne sait pas trop quoi, du temps qu'il fait... De celui qu'il va faire... Des partouzars politicards.. Du dernier match de la saison et de cette Pépette qui s'affiche dans tous les magazines, dont nous ne dirons rien parce que c'est pas convenable...
- Moi, les toubibs c'est charlatans et compagnie... Moins je les vois, mieux je me porte... rajoute un troisième larron en touillant son caoua, le nez dans les courtines.. 
- N'empêche, quand t'as le nez qui coule, c'est que tu chopes la grippe... Et si la mort cogne à ta porte, c'est que c'est ton heure... Tu peux faire ta valise...
Le monde peut toujours hurler de rage, ces trois-là répètent les mêmes litanies comme une vieille à confesse... Si vous les croisez un jour, tendez l'oreille... Ça vaut le détour...

mardi 22 août 2017

C'EST DIT...

- Moi, je ne suis pas vraiment utile ici.
  Tout ce que j'ai fait c'est d'arriver à l'âge mûr. 
  C'est tout.

lundi 21 août 2017

HEAVY

Reprenons le grand livre... Voyez 1969, qu'est-ce qu'on a ?
Des gugus marchent sur la lune ( un grand pas pour l'humanité ? )
Le Grand Charles rend son tablier...
Sergio nous mitonne une année érotique qui fera transpirer les ligues de vertu...
Richard le Rénégat se prépare un Watergate aux petits oignons...
Et le ZEP nous pond un deuxième opus qui tannera la couenne de tous les
métalleux du globe...
Heavy Métaux ( c'est osé ! ) ou pas, on a tous dans la tête l'intro de Whole Lotta Love...
On n'y peut rien, c'est comme ça...

dimanche 20 août 2017

COCHON ( 5 )

La gribouille ( grosse dame moche en français dans le texte ) déboita sans crier gare ( au gorille bien entendu ! ) sans clignotant et sans regarder dans le rétro comme on nous apprend à l'auto-école, sans doute attirée par le fotomaton portatif où elle pourrait se mirer dans le miroir comme l'autre reine Caramoche qui se tirait le portrait à tout bout de champs pire   que le petit Dorian de sinistre mémoire... Vous pensez bien, que moi, lancé à toute blinde vers le rayon " Câlins à toute heure ", ma patte folle dérapant sur le carrelage rendu fraîchement glissant par une Cendrillon venue tout droit du Bénin ( ou d'ailleurs ) - petite noiraude mise en exclavage par un sous-chef pointilleux sur la propreté et la salubrité publique - qui se cassait les osselets en récurant une flaque d'huile d'olive venue dont ne sais où ( parce que franchement, on ne peut pas tout savoir ! )  j'eus beau freiner des quatre fers, j'embourbai la gargouille ( grosse dame très très moche en vieux françois dans le texte ) l'envoyant dinguer contre un stand où une fausse Bigoudaine de Charleroi en Belgique préparait des crêpes-frites-chantilly en chantant la Carmagnole, ce qui prouve bien que les Belges sont pas si benêts que ça et qu'ils connaissent les classiques de notre beau pays...
Usant de malchance la drôlesse ( ce mot n'est plus utilisé : Veuillez consulter l'annuaire ) se prit les pattes dans les moustaches d'un chanteur qui, même calanché, ravissait encore et toujours son public... Le bougre - un mauvais sujet repenti - l'envoya valser dans un saladier de pâte ( à crêpes ! suivez ! ), ce qui mit en rogne notre bretonne à drôle de coiffe et colmata pour l'éternité les narines de la virago en folie... Narines qu'elle avait fort grosses et fort poilues me souffle Madame Suzanne dans l'oreillette, jamais avare d'une bonne blague... Quel charivari mes z'amis ! On n'avait pas vu tel chambardement depuis le boog ( pourquoi pas ? ) de l'an 2000 et l'élection de Miss Choucroute ! On appela la garde qui bloqua illico les " issues de secours " ( Je sais c'est crétin de bloquer ces fameuses issues, par où on sort alors ? Mais c'est dans le texte que voulez-vous que j'y fasse ! ), des manifestants anti-ogm brandirent des pancartes tandis que d'autres plus radicaux, mettaient le feu au stand des nuggets-burgers, brûlaient la bannière étoilée, comme au bon vieux temps,  en signe de protestation contre les évènements de Charlottesville... Manu Jupi fit une apparition pour calmer son monde et comme d'hab, la foule en délire entama " Allumez le feu " une chanson gaillarde d'un Johnny grabataire qui profita de l'occase pour annoncer son prochain retour sur scène...
Je profitai du bazar pour m'esquiver ( refusé ! ), ramasser mes billes, et courir au plus vite chercher la provision de câlins dont j'avais tant besoin... Hélas ! la demoiselle avait fermé son estancot, changé de métier, prétextant qu'avec cet Oteur qui racontait n'importe quoi, on ne savait jamais si ses élucubrations, c'était du LARD OU DU COCHON...
- Vraiment une triste fin ! S'en est fini des petites cochonnes ! murmura un porc-épic qui n'avait plus rien d'épique...


samedi 19 août 2017

ALORS JE CHANTE....

Que s'est-il passé voilà qu'elle est fumée
La vieille cigarette
Sur le calendrier on coche les années
Enfin celles qui restent
Faut pas trop s'approcher du gouffre du fossé
De la mort qui nous guette
Dans nos petits souliers on souffre d'éviter
L'appétit de l'ogresse...
Alors on chante... Alors on chante...
Que s'est-il passé pourtant on a roulé
Dans des draps de tendresse
Les regardes enfiévrés ils se sont oubliés
Dans les yeux des mouflettes
Les rendez-vous manqués les jolis coups fourrés
Et puis toutes les miettes
Ils se sont envolés sont partis en fumée
Elle est dite la messe...
Alors je chante... Alors je chante...

vendredi 18 août 2017

COCHON ( 4 )

Les allées ressemblent à des avenues où tu pourrais faire défiler la Grande Armée de retour d'Austerlitz ( pas la gare...  La joyeuse pouillerie des baïonnettes... ). Vive Napo ! crient des zombies déguisés en grognards en te proposant des fromages corses, ces merdes pleines d'asticots et de nationalistes... Y'a  aussi une promo sur Joséphine, mais c'est une autre histoire...  Le machin est plus étendu que la fameuse salle des Pas Perdus ( pas pour tout le monde ! ), les plaines de Mongolie et la steppe de je ne sais plus où, ce qui prouve bien que je suis nul en géo et que mon " brevet des écoles " est usurpé...  Les audacieux qui s'aventurent sans boussole et sans gps dans le bazar ont du souci à se faire... Il n'est pas rare qu'on perde un enfant au rayon jouets ou que Marcel oublie sa moitié dans les travées des sous-vêtements où rodent des boutonneux en manque d'affection qu'il ne faut par croiser les nuits de pleine " lune "( cherchez pas c'est de l'humour de trocson... ). Z'ont instauré un sens de circulation pour les caddies en folie, des interdictions de stationner devant le rayon des spiritueux ( mes amis m'appellent cirrhose... ), et une priorité pour les caravanes de chameaux des émirs du Golfe parce que c'est eux qui doublent le C.A. et qu'avec ta petite liste de courses, je te jure,  t'as l'air un peu con face au sérail du grand Vizir... Faut contourner des ronds-points ( à la ligne ), des pyramides de boites de petits pois, comme des sculptures d'Armand en raviolis, des banderoles de supporters, des Alsaciennes de Nogent en choucroute,  supporter la lumière qui te fait cligner les yeux et cette rengaine de Souchon ( Foule Sentimentale pour les puristes... ) qui te rend complètement addict, qui te serine les oreilles que tu en oublierais presque tes vieux Cailloux et leurs guitares centenaires...
" Ça sent comme dans les wc de mamie " a dit un môme, qui la seconde d'avant traitait sa mère de " vieille vache ",  parce que les enfants d'aujourd'hui manquent d'éducation et qu'une bonne rouste de temps en temps... Mais  c'est encore une autre histoire... Le môme a raison. Tu respires soit l'air de la taïga où j'ai jamais mis les pieds ( mais j'aime le mot Taïga... ) soit la marée ou les fruits exotiques venus de ces pays imbéciles où jamais il ne pleut ( j'ai le droit !!!! ). Franchement, tous ces mélanges foutent un peu la gerbe, mais c'est jamais qu'un prêté  pour un vomi disait qui vous savez...
Prudent comme un exilé fiscal et soucieux de retrouver mon chemin après mes achats ( perché ! ), j'ai semé des nouilles, un peu de blé pour l'hiver prochain, et la pagaille quand j'ai renversé une rombière garée en double file...
                                                                           ... / ...

jeudi 17 août 2017

MALOTRU...

Grand-père nous a dit,  que sorti de son triangle magique ( tabac, pharmacie, bistrot, cherchez l'intrus ! ),  les voyages l'ennuyaient... Qu'il se voyait pas faire des kilomètres ailleurs que dans sa carrée... Que les camions fous, les conducteurs en état d'ivresse, les cyclos et les paysans en colère sous leurs pancartes qui réclament des sous, ça lui foutait la trouille... Il n'empruntait d'habitude, que des petits chemins qui sentent la lavande, au pire un tronçon de la Nationale 7 entre St-Trenet et St-Georges, des bleds où il fait bon flâner entre le débit de l'eau et une douzaine de gaillardes... Vous connaissez la suite...  Qu'il se voyait pas bouffer des sandwiches caca-triangle, faire la queue pour pisser et supporter les chiards qui braillent, les clebards qu'on abandonne et les belles-mères qu'on voudrait bien, tellement elles nous saoulent avec leurs conseils à deux balles... Déjà qu'il a du mal sur ses pompes à bascule, alors l'autoroute...
Quand on a insisté pour l'emmener, il a pleurniché, que vu qu'il nage comme un caillou,  le bord de mer, c'était pas pour lui non plus... " D'ailleurs les filles de Salvatore ressemblent toutes à des méduses " qu'il a ronchonné l'immonde... Les lacs et les rivières, c'est pareil.. " Tu sais jamais où tu mets les arpions... De vrais bouillons de culture à moustiques... Paraît qu'on a retrouvé des bouts d'orteils dans la gueule des silures, j'ai pas envie de finir avec une jambe en bois et une pension d'invalide... ".
On a essayé la montagne... Le grand air, les chamois et le grand tétra, les refuges qui sentent le fromage et la fondue qui sent des pieds, mais balpeau ! Le vieux n'a rien voulu savoir... " Déjà quand je suis debout, j'ai le vertige... Alors faire l'acrobate sur des chemins de chèvres, pas question ! " 
Restaient plus que les voyages à l'étranger... On allait le perdre dans les souks d'Istambul qui perd la boule, la faute à l'autre Erdogan, ou chez Messieurs Paul Nord ou Sud... On l'entendrait plus braire... L'envoyer sur Mars, c'était aussi une option, mais ce con aurait fait chier les martiens et David Bowie un gars qu'est monté là-haut et qu'est jamais redescendu...
Finalement, on l'a laissé dans son fauteuil... Et bien, vous me croyez ou non, quand un mois plus tard, on a reposé nos valises, vidé le sable de nos chaussures et consulté nos débits de carte,  le vilain n'avait pas bougé d'un quart de pouce... Y'a fallu qu'on le change, qu'on le nourrisse et qu'on l'hydrate... L'horrible, un doigt dans le nez, l'autre sur la zapette de la tèloche,  nous a accusé de maltraitance à personne âgée...
Quel malotru tout de même !

mercredi 16 août 2017

COCHON ( 3 )

Arrive le second portique ( la saison Trois si vous voulez ! ) qui te décortique au scan... Détecteur de métal, reconnaissance faciale, prise d'empreintes, examen de la prostate au cas où tu planquerais un canif dans tes vieilles bourses et lessivage anti-bactérien parce que vous savez ce que c'est... Les microbes, toutes les saloperies qu'on transporte sous les bras, les poux dans la paille, les pustules et autres acariens... On va pas prendre le risque d'empoisonner le chaland... Cest pas nous qu'on mettrait des saloperies dans la viande de cheval ou les oeufs de poulettes... Parce qu'on  l'enseigne dans toutes les écoles de commerce, pas de clients, tu déposes le bilan mon bon Fernand... C'est pas Manu Jupi qui dira le contraire... Tes analyses d'urine étant plus propres que la conscience d'un jeune député, ton faciès ( type européen, rasé de la veille, un peu gras, joueur de boules ( de blues ! ) amateur de jambon-piquette etc... ) étant plutôt " vache qui rit ",  la vérif de tes papiers se fait sans encombre. Une dernière palpation au ras du pantalon par un cerbère qui ressemble à un sumo mal luné et c'est parti... Un machin synthétique d'une voix plus grave que celle de Mademoiselle Moreau disparue récemment ( elle profitera plus des bons de réduc, c'est dommage ! ) te souhaite la bienvenue, un bon séjour dans nos murs et te refile en prime la température extérieure, les risques d'orage sur le Bassin Aquitain, ce qui vous en conviendrez ne fait pas avancer les petits chevaux quand tu fais tes emplettes... Madame Suzanne - une ménagère exemplaire - opine du chef ( tiens ! tiens !  y'avait longtemps ! )...
A peine posé le pied gauche -  le droit étant réservé pour le fion d'un malotru qui te demanderait l'heure -  dans le saint des seins ( saints ), le sin dessins ( je sais pas trop, faites comme vous voulez ! ), au coeur de la motrice ( matrice plutôt ! ) que te voilà apalgué par un guignol qui veut te faire goûter un fromage qui pue et des sablés bretons fabriqués en Chine par des petits n'enfants bridés dont on se fout royalement ( voir Ségolène... Bof... ) les nôtres nous causent déjà bien assez de soucis avec la prochaine rentrée...
                                                                   ... / ...                                       

mardi 15 août 2017

COCHON ( 2 )

Les emplettes continuent...
Le suspense s'épaissit...
Que va-t-il arriver à notre héros ????
Sortira-t-il indemne de ses aventures ???
Vous le saurez demain,
Ou plus tard... Ou jamais...

lundi 14 août 2017

COCHON...

C'est moi qui pousse le caddie. Qui prend la file pour la visite du Temple... Le chuintement ( refusé ! ) des portes électroniques, les capteurs qui bipent quand vous entrez dans le sas, sous le regard d'un vigile un peu hagard qui s'ennuie, pense à ses crédits, à l'anniversaire du petit dernier, mais veille  au grain, ça vous met dans l'ambiance tout de suite... On craint l'attentat... Le martyr décérébré... La bombinette artisanale pleine de clous et de boulons qui redessine le monde de Jérôme Bosch entre deux annonces de lessive qui lave plus blanc... Se retrouver avec une tronche de Picasso parce qu'un abruti a voulu chatouiller quelques vierges ou qu'un créationniste à la con veut faire la nique au petit père Darwin à grands coups de fusil à pompe, ça gâcherait les promos, ça mettrait le bazar dans les têtes de gondoles... Alors, les mafieux de ma grand' distri font gaffe... Sans compter les punks à chiens près des poubelles - à ne pas confondre avec les clochards qui chopinent du vinaigre entre deux palettes - les chapardeurs de vieilles dames, les Evangélistes qui font des listes ( ? ), les Témoins que rien toujours sur le pont, les vendeurs de grille-pain à la sauvette, les gueules cassées de la grand guerre,  cet honnête homme sans malice qui rêve de contempler l'nombril d'la femme d'un agent de police (... / ... ) et tout le reste, la faune, la flore... Tous ces gens que je connais même pas... Qui lorgnent sur mes envies de munster, de Sirop Typhon ( voir Richard Antony ) et ma carte bleue qui chope la tremblote et se renfrogne au fond de mon cabbas... Bébert Kevlar a du boulot pour gérer tout ce petit monde... Heureusement, les caméras de surveillance surveillent ( c'est leur boulot après tout ! ) le troupeau qui fait le pied de grue devant le stand de cochonnailles du Pays, parce que dans le cochon tout est bon, et que, dans notre beau pays, la foire à la saucisse n'est jamais bien loin...
                                                                  ... / ...

dimanche 13 août 2017

JERRY...

                    TU PENSERAS A REMETTRE UNE PIECE              
                                              
                                                 DANS LE JUKE BOX

                        J'AI COMME UNE ENVIE DE ROCK AND ROLL

Great Balls of Fire
Jerry Lee Lewis.




                                      




  


samedi 12 août 2017

PUNKS...

Bon là... On voit que cousin Bébert gueule contre la réforme du budget de Manu Jupi, tandis que Ninette et Zézette jactent à n'en plus finir sur les bienfaits du mascara au caca d'oie... Au deuxième plan, vous pouvez apercevoir tonton René et tata Odile ( la dame qu'a les tifs en balai de chiotte ) faire coucou au fotografe ( pourquoi pas ? ) qui leur raconte sûrement des fadaises ( de Dieppe ! ) pour leur tirer le portrait gratos ! Ca tangue sérieux dans la petite cuisine, et si vous tendez l'oreille, vous entendrez Johnny Rotten qui braille après la Queen et le No Future de Tatcher la maléfique...
Moi ça me rappelle des javas-pastagas chez des cousins de province qui finissaient toujours en caca-boudin... Après l'apéro, c'était la foire d'empoigne, le défilé des andouilles et le rôti était toujours plus cramé que les invités ! Tonton Mimi mettait le Zeppelin à donf dans les enceintes qui faisaient gueuler le chien du voisin et Tata Lulu racontait pour la dix millème fois comment elle avait touché les boules d'un chanteur à succés mais néanmoins coco ( ses boules de pétanque pardi ! )... On finissait tous dans le ruisseau à faire des concours de dégueulis ce qui ravissait les asticots et autre bestioles que la nature, jamais à court de mauvais coups, nous balançait entre les orteils, parce qu'on avait depuis longtemps balancé nos godasses dans le jardin... Au dessert, les survivants devaient se fader l'aîné de la famille qu'empoignait son piano à bretelles et entonnait " Mon amant de Saint-Jean " cette panouille qui achevait l'assemblée... Les punks pouvaient s'enfiler des épingles à nourrice dans le fion, nous on restait sur nos positions...
Mille excuses à l'auteur de ce cliché pour avoir " détourné " cette exposition consacrée aux cinquante ans du mouvement punk. Remerciements à V. Westwood, à ces jupes gros cul, à Malcom McLaren, à Johnny Tunders, aux Clash et à ce balourd d'Iggy que tous ces gandins ont copié outrageusement...

vendredi 11 août 2017

FABLE...

- Z'auraient quand même pu ranger leur merdier avant de partir ! Imagine qu'un agneau vienne à se désaltérer dans le courant d'une onde pure et qu'un lupus cherche aventure... Avec tout ce bazar, z'auraient du mal à faire connaissance et l'histoire manquerait de sel...
Jean de la Fontaine.

jeudi 10 août 2017

MATHIAS

Voilà maintenant que l'on traverse la guerre de Bosnie guettant les snipers sur les toits les mouvements de troupes qui les souvenirs en pagaille aidant vont dézinguer le sinistre Guevarra au fond de la jungle Bolivienne bourricot insolent devenu figure christique sur les tee-shirts des révolutionnaires en herbe Ramon Benitez pourchassé jusqu'au fond des chiottes de la Tchétchénie de Poutine le jour qui se lève sur la putana vénitienne qui s'enfonce doucement sous les crottes de pigeon les palais délabrés et l'appétit féroce des promoteurs David Bowie qui s'enferme dans un studio à Berlin la faunesque et le ciel qui s'affaisse doucement sur la Beauce impassible...

mercredi 9 août 2017

MATHIAS

Un moment j'ai cru qu'un rêve furibard faisait le grand écart et que les démons du sommeil dansaient la bamboula-samba dans les draps moites froissés par de longues phrases sans ponctuation aucune  comme pour aller plus vite en besogne comme un mantra en boucle le chant du muezzin lancés dans  la Zone de ce Mathias Enard l'Orientaliste que je relis chaque été comme d'autres reprennent une Madeleine ou des bains de minuit dans la piscine d'hôtels Libanais ou Syriens avant les grands chambardements moi qui ne suit pas assez instruit assez cultivé - Dieu m'est témoin pourtant que le soc de la charrue souvent s'enfonça profond dans ma glaise traçant des sillons en forme de cicatrice de mystérieuses figures géométriques tatouées sur ma peau d'Inca - moi trop proche des mouches de bar trop éloigné des mystères de Sainte-Sophie de l'Iran où cette impératrice de roman-photo crée un musée d'Art Moderne achète les grabouillis de Pollock pardon les taches et se fait tirer le portrait par le bigleux Andy pendant que son shah de mari frise les moustaches des vendeurs de babouches que l'Occident fait courbette devant son habit d'apparat et sa mane pétrolière avant que le Belphégor de Neauphle le Château ne mette de l'ordre dans tout celà à grands coups d'anathèmes et de Coran pourri toute l'Histoire  qui défile dans ce train qui va vers Rome tous ces évènements qui osons l'avouer m'encombrent quelquefois  moi qui n'aime que les points de suspension du petit Père Celine et les gros mots du Commissaire bien nommé voilà que je ne rêvais pas qu'une petite pluie faisait tambour sur le toit du gourbi et que les virgules commençaient à me manquer sérieusement...

mardi 8 août 2017

ART. UN.

                                                  F   A   I   T   E   S     V  O   U    S


                                                   P   L   A   I   S   I   R    ... /....

lundi 7 août 2017

TANTALE...

- Hélas il ne pleut jamais du gros 
  bleu qui tache,
- Qu'elles donnent du vin j'irai traire
  enfin les vaches...
Allez donnez-vous la peine d'entrer... Restez pas plantés là, comme des couillons d'évangélistes en maraude ! J'vous fais profiter bien volontiers ! J'ai du café, des oeufs durs ( prenez du blanc ! prenez du jaune ! ), un restant de chopine et du pain frais comme les yeux de ma boulangère...
C'est pas tous les jours qu'on trouve deux rimes qui tiennent la route ! 
Pas tous les matins qu'on se réveille avec ce quatrain ( électrique ) dans la tronche... Qu'on sifflote, enfilant sa culotte,  les déboires de ce pauvre Tantale...


dimanche 6 août 2017

BELL

Dans ces années de débauche, il fallut bien trouver une concurente rosbiff à cette braillarde de Janis...
Big Mama Thorton étant rentrée dans l'histoire et Céline Dion par encore au top, la fèlée de Port-Arthur remportait à chaque fois le morceau... Maggie la rousse écossaise se porte donc volontaire pour faire la nique à l'amerlocke, laquelle s'en bat le gras du bide, trop occupée à jouer avec le bataclan qui va l'emmener illico dans le club des " Vingt sept ". Mais ceci est une autre contine que se racontent les vieux barbus quand les enfants sont éloignés du poste...
Aprés quelques abblutions, libations et fumettes sulfureuses ( faut ce qu'il faut quand même ! ) la Belle s'acquoquine avec " Stone the Crow " une bande de chevelus de ce temps-là qui font trois petits tours et puis s'en vont... Ma playliste me dit qu'entendant la reprise du " Fool on the hill " notre petit Paul de chez qui vous savez, leva les yeux au ciel et soupira : Pourvu qu'Eddy Mitchell n'en fasse pas une version en vieux François... ** Ce qui fut fait,  et ne changea d'ailleurs rien à l'histoire... 
** Les pensées de Paul Mac n'engagent que l'Oteur...

samedi 5 août 2017

PSCHUITT...


TOTEM...


Sinon, vous pourrez
admirer le calvaire de 
St Benoît de Coco, où une 
Bigoudaine en bas de laine vous jouera
un air de cabrette- mobylette ( moyennant
un petit supplément ) ou " Celle du berger
Bobby, ça le change de ses brebis " murmuré
le pépère Perret et son pot au lait...
Visiter les ruines de Mossoul ( A consommer
avec modération ), le Manège enchanté de zébulon,
et bien sûr, renifler le numéro dix de Neymar Yenamarre,
que notre ministre des finances va adorer...
Les vacances quoi...
A vous revoir bientôt
" Tous nus,  et tous bronzés ".

 FIN DU XXe
DEBUT XXIe



vendredi 4 août 2017

VU...

que la " nature " n'est pas à prendre avec des pincettes, ces jours-ci...
Vu...  Que les choses étant ce qu'elles sont, on va pas se retrouver avec une aire de repos pour les caravanes, un jeu de boules ( jeu de vioules ! ), une barraque saucisses-frite, s dans ce coin pourri qu'on  se demande ce que foutent les gars de l'ONF... Qu'on s'imagine facile qu'une bande de maquisards a dû planquer pendant la dernière pouillerie...
Vu... Que même l'hélico qui se joue Apocalypse ne vous voit pas quand vous faîtes le petit pissou rédempteur...
Vu... Qu'il devient de plus en plus difficile de tremper ses arpions dans la rivière, de se mouiller le ventrou en chantant " Maman les pt'its bateaux "...
Vu... Qu'on risque pas d'embraser la forêt en allumant un clop...
Vu... Que les vacances se passent bien...
Vu... Ce que j'ai vu...
Je peux vous assurer que traverser le vieux pont, ne mène nulle part...
Comme cette kronique d'ailleurs...
Indiana Jones.

jeudi 3 août 2017

DUNES...

Tous les matins, le même rendez-vous... Ne me dites pas... Ça devient une manie, un tic, comme se gratter les oreilles ou les roustons... Pas le temps de recharger les batteries, de reprendre son souffle... Faut grimper dans le tram, même sans ticket, même sans destination... Au prochain arrêt tout le monde descend (t ?) ! Attention à la marche ! Pas  la peine de chercher un échappatoire ( onze lettres ), un chemin de traverse, des petites marionnettes qui,  ainsi font... font... font...
Le monde tourne trop vite. Le désert gagne du terrain... Faut bien lutter contre les dunes qui ensablent notre ciboulot... Faire des phrases à deux balles, des mots de quat'sous ou des rengaines qui font tourner le manège...
Bien à vous.
Journal Confus.

mercredi 2 août 2017

PLUS TARD...

J'y vois pas beau...
Y va faire du temps...
Par chez nous, c'est comme ça qu'on parle... Enfin le " Grand Raym " quand il met à l'abri chaises, tables et parasols, déplie ses longs compas en rangeant les cendriers, les derniers " bocks " et les dessous de table ( le grand est un peu malfrat ! ),  parce qu'un foutu orage digne d'un tonton chanteur se prépare... Faut voir les choupinettes traverser la place... Les jupettes en bataille qui vous remontent là où un honnête homme ne mettrait jamais les yeux, le sac de plage calé sous les coudes comme si que ( c'est comme ça qu'on jacte par chez nous ! ) un apache de musette allait s'en prendre à leur carte de bus et leur Aiephone... Mais c'est bien connu, le vent malin de l'autre baltringue se fout pas mal de la bienséance ( refusé ! ), de la pudeur et de la soutane de monsieur l'abbé qu'a bien du mal lui aussi à garder ses burettes au sec..
Vous devriez rentrer les gars...
Z'allez être rincés comme le linge de Madame Suzanne...
Quand tu stationnes depuis un moment dans ce bled, que tu as une chopine à finir, tu sais bien que l'orage par ici est comme un gamin capricieux... Il tape du pied en braillant tout ce qu'il peut, se prend pour l'autre andouille qui tape sur ses cymbales dans ce truc de Berlioz que ça t'arraches les tympans, et s'en va jouer plus loin... Ici, depuis toujours, on pactise avec les éléments. Tu verras jamais le Tacon venir mouiller le charbon dans nos caves, ni la Main Morte te dégringoler sur la margoulette...
N'empêche, à faire les zouaves - toujours plus malins que les z'ôtres -  " Le temps de finir la bouteille " de Monsieur Leprest,  on s'est retrouvé trempés comme la soupe d'Augustin, un type dont je vous parlerai plus tard, si le Bondieu de Dieu m'en laisse le temps...

mardi 1 août 2017

MR. AND MRS.....

Mr. and Mrs. Arthur Vine of Paz, South Dakota and their son, Pancake...
Ceci n'a rien à voir avec cela... Tralala..
L'hirondelle de l'actu regarde sur son fil, la funambule qui dévisse.
Prenons l'Ascenceur une dernière fois, qu'elle gazouille de sa voix de fumeuse...
" Pour Jeanne ou pour Miles " renchérit le bellâtre ( refusé ! ) Maurice...

 H                                                                                                           U                              ...