mercredi 5 novembre 2025
En bref...
lundi 3 novembre 2025
C'est dit.
dimanche 2 novembre 2025
vendredi 31 octobre 2025
jeudi 30 octobre 2025
mardi 28 octobre 2025
dimanche 26 octobre 2025
samedi 25 octobre 2025
vendredi 24 octobre 2025
jeudi 23 octobre 2025
mardi 21 octobre 2025
lundi 20 octobre 2025
vendredi 17 octobre 2025
mercredi 15 octobre 2025
Les dessins (2)
mardi 14 octobre 2025
Les dessins (1)
samedi 11 octobre 2025
vendredi 10 octobre 2025
mercredi 8 octobre 2025
mardi 7 octobre 2025
lundi 6 octobre 2025
dimanche 5 octobre 2025
vendredi 3 octobre 2025
jeudi 2 octobre 2025
Seb...
Au nom de l'Egalité gravée au fronton des mairies,
Si je pouvais, sans abuser, avoir un appartement donnant
mercredi 1 octobre 2025
Music Box.
lundi 29 septembre 2025
dimanche 28 septembre 2025
Rappel a l'ordre...
samedi 27 septembre 2025
Chouchou (2)
vendredi 26 septembre 2025
Chouchou...
jeudi 25 septembre 2025
mercredi 24 septembre 2025
mardi 23 septembre 2025
La vie des animaux (fin)
lundi 22 septembre 2025
dimanche 21 septembre 2025
La vie des animaux (2)
Je ne souhaite à personne d'avoir à supporter cette envie irrésistible de mordre ses voisins de chenil.. Ca vous fait dresser les poils sur le dos, vous donne des airs de bouledogue, quand ils blablatent (les voisins) sur la qualité des croquettes, et le temps qu'il fait... Surtout ceux qui aboient, ceux qui grognent sur le palier des gourbis, me reprochant sans cesse de ronger mon os, sans ouvrir ma gueule... Souvent roquets hargneux, et batailleurs, ils filent la queue entre les jambes au premier coup de semonce de leurs maîtres, ou font les beaux, les pattes en l'air pour quelques dollars de plus. Alors, vous comprendrez que dans ce western médiocre, je préfère lever la patte, et pisser tranquillement, la truffe à l'air, en lorgnant les petites chattes qui campent sur ma gouttière...
samedi 20 septembre 2025
La vie des animaux
mardi 16 septembre 2025
Fait soleil ce matin. Je lis quelques pages du fameux Journal. Ca fait un bail... Presque un siècle. Le machin ne me passionne pas... C'est de la fesse triste. Ca sent le vieux, la poussière, et le pipi de chat. Ses bêtes comme il appelle la ribambelle de greffiers qui swinguent dans la boutique... J'ai beau m'appliquer, me tournicoter les nerfs de la cervelle, je n'accroche pas. Je veux bien qu'il ait posé sa prose sur du papier à chiottes, ou sur les pages de la Nouvelle revue française, qu'il ait été un critique chafouin, méchant, mauvais coucheur, craint, ou encensé du beau monde des lettres, le vieux Paulo m'emmerde. C'est vrai que j'aime bien son côté moitié cloche qui vomit sur l'époque, sa méchanceté, vieux machin plein de bile, mais ce matin, le soleil de février tangote sur la poussière du piano, et Dalida chante Gigi l'amoroso dans le poste qui couine. Alors, pas de panique ! Je vais m'essayer au Journal d'une femme de chambre. Ce sera peut-être plus rigolo...
samedi 13 septembre 2025
vendredi 12 septembre 2025
Ho ! Ho !
jeudi 11 septembre 2025
Ha ! Ha !
mercredi 10 septembre 2025
lundi 8 septembre 2025
dimanche 7 septembre 2025
Psycho 39...
samedi 6 septembre 2025
carrefours (2)
Ils se parlent d'amour comme on parle d'autre chose / Comme on compte les jour dangereux et moroses /
vendredi 5 septembre 2025
carrefours (1)
mercredi 3 septembre 2025
mardi 2 septembre 2025
dimanche 31 août 2025
samedi 30 août 2025
jeudi 28 août 2025
mercredi 27 août 2025
brouillons
Longtemps, je me suis battu avec les écrivains, et leurs bouquins, comme Longtemps avant moi, le vieux Marcel s'était couché de bonne heure. Vous connaissez la phrase... L'incipit (refusé !) magique qui vous fait briller en société, mieux qu'la pt'ite enfant d'Marie que m'a soufflé l'évèque. Quoique...Dans le monde où je vis, entre les résultats du foot, le séjour de Kévin en zonzon, et la dernière pétrolette de chez Balpeau, c'est pas facile de glisser des Jeunes filles en fleur dans la converse... Tandis qu'un Gorille, ça fait rigoler tout le monde... Vous avouer que je préfère le bon Georges, au fragile Marcel, ne m'est guère difficile. Je ne connais de l'oeuvre de l'aristo de Neuilly que cette phrase, tandis que le gaillard de Sète me réjouit l'essence (oui, les sens...) chaque journée que le bon dieu fait... On notera d'ailleurs au passage, pour relever le niveau (?) que les deux grands hommes se sont croisés sans se connaître... Quand l'un gueulait Mort aux vaches, vive l'anarchie, au sortir de l'oeuf maternel (octobre 1921) l'autre calanchait sous les honneurs (novembre 1922). C'est le destin... Y'a pas de temps à perdre, même si on le recherche, me souffle Big Mac qu'a toujours une oreille qui traîne...
mardi 26 août 2025
dimanche 24 août 2025
samedi 23 août 2025
mercredi 20 août 2025
On tenait à peine debout. La faute, bien sûr à nos vieilles guibolles qui n'étaient plus celles d'avant le déluge, et à une foutue bise qui nous soufflait sur le pif, ralentissait notre "marche en avant" dans la toundra, comme pour nous faire regretter nos mauvaises actions, nos péchés, et cette prétention qu'ont les bipèdes à vouloir jouer avec la météo. La Tempête, ce foutu morceau de piano qui me chauffait les doigts, m'a inspiré une pensée pour le vieux Ludwig qui s'est mis à ricaner dans la tourmente. J'ai pensé qu'à ,la prochaine bourrasque, on allait se retrouver le cul par-dessus tête, et dévaler la pente pire un palet de hockey expédié dans les cages. On ne dira jamais assez la souffrance du palet, quand des gus d'un quintal, rageurs comme Robert devant son ticket de loto (encore perdu !) l'assassinent à grands coups de crosse pour gagner la finale... C'est pareil pour les petites balles de golf, mais là n'est pas le propos...
mardi 19 août 2025
lundi 18 août 2025
dimanche 17 août 2025
Ronchon.
samedi 16 août 2025
vendredi 15 août 2025
mercredi 13 août 2025
mardi 12 août 2025
lundi 11 août 2025
Metéo.
dimanche 10 août 2025
samedi 9 août 2025
jeudi 7 août 2025
mercredi 6 août 2025
1971.
Le temps de karchériser l'étage du bas avec la même vigueur que la femme de ménage use son dos dans les escaliers de l'immeuble, de rendre présentables le côté pile, et le côté face, quand les petits travailleurs anonymes ont fini leur boulot, nettoyé les couloirs, et peinards attendent le lendemain, comme tous les prolos qui se respectent, 1971, et la fin du vingtième dévalent les pentes du lavabo. Un mélange de glaires, salive, flux gastriques, et goût de dentifrice au jus de ratatouiller, censé, d'aprés mon escroc de pharmacien, protéger les trois ratiches encore valides dans le clapet, et la langue bien pendue qui campent dans le gosier envers et contre tous. Je rame un peu... Rattrape vite fait la savonnette qui se faisait la malle sur le tapis pour se faire mousser. La savonnette adore se faire mousser, pire tous les branquignoles qui me saoulent à longueur de temps, et si les cloches n'avaient pas sonné la fin de la récré, on devait être dimanche, jour de messe, et de poulet rôti, jeunes couples cathos bien mis, ou vieilles noiraudes sur le parvis, je serais resté la bite à l'air à ressasser mes vieilles lunes, devant l'abïme qui s'ouvrait, à compter les années sur mes paluches qui tremblaient un peu devant le vide..
lundi 4 août 2025
dimanche 3 août 2025
Amen.
samedi 2 août 2025
1971.
En bref...
Nous avons Emmanuel*, et moi, un point commun. Nous adorons tous les deux Le Bureau des Légendes. Est-ce que la Légende Malotru a aid...


















