Vous cherchez l'embrouille ? Carabistouilles et Compagnie... Voulez nous faire prendre le premier violon de l'Orchestre pour la guitare à Jimi ? Le triangle qui remplacerait la caisse claire de Charlie... Vous manquez pas de souffle ! On n'est pas des perdreaux de l'année, et toutes vos simagrées n'y changeront rien... Nous voilà bien embarrassés devant tant de mauvaise foi, pas rassurés du tout sur votre avenir... Ne le niez pas... Vous avez même déserté les champs de coton chers aux vieux négros bluesmans, et par la même occase, tous les blanc becs ( Voir pièce jointe ) qui reprirent le flambeau pour mettre le feu aux poudres. Une amnésie fatale ! Pour ne rien arranger, les souvenirs des brass bands qui swinguaient le jazz d'avant et après guerre, les souffleurs de bignou, joueurs de tam tam, et compagnie, toutes les chatteries de Billie, et de ses soeurs,  ne semblent pas vous faire gambiller plus que ça ! Quant à, répétons le, laisser passer le temps ( qui ne fait rien à l'affaire ) sans jeter la moindre oreille au Sètois Magnifique, cela relève de l'atteinte à l'ordre musique... Nous n'insisterons pas.... Ne vous justifiez pas ! Vos perruques poudrées, crinolines, et queues de pie, promenées à longueur de temps dans des fosses pleines de mignardises, et de chapeaux à plumes, n'excusent rien...

Alors, une dernière fois, nous vous conjurons de rentrer dans le rang, de revenir à vos premières amours, sous peine de perdre à tout jamais, la confiance accordée, à toutes vos pantomimes d'avant le grand silence... Ce ne doit pas être si difficile, nom d'une clarinette !

It's only Rock and Roll après tout...

 Bien sûr qu'il faudrait dire quelques mots de la grande bellezza... Mais une mise en garde s'impose. Les pirouettes matinales de L'Empreinte qui émoustillent chaque matin les trois neurones de l'Oteur, ont elles une quelconque valeur critique ? Un droit au blabla comme le feraient les professionnels de la profession ? Rien n'est moins sûr... Lançons nous quand même, aurait dit David devant Goliath, sa t'ite fronde dans la main droite, ses illusions dans la gauche ( qui n'en n'a plus guère, la gauche, des illusions... ). Ce joli film de Paolo Sorrentino, rejeton assumé du grand Federico, pourfendeur de l'ordre établi, raconte les miasmes de l'Italie Viscontienne plombée par les Brigades Rouges, ces joyeux gugus qui firent vaciller Giulio Andreotti, et sa Démocratie Chrétienne ( il divo, un autre film de Paolo qui mérite l'attention ). Vous dire comme ça swingue, pire un vieux boogie en chaleur, dans les palais décadents de Rome, serait un euphémisme ( refusé ! ). C'est baroque, foutraque, outrancier... La Dolce Vita sous speed... Les narines pleines de substances illicites... La moulinette va bon train. Tout y passe... Les intellos, l'art contemporain, la religion... Les "performances" qui ne performent que du vide.... Les fêtes qui s'éternisent dans les chiottes de la House music (?)... Tout ce beau monde défile ( et se délite ) sous l'oeil désabusé de Jep, écrivain en mal de tout. Toni Servillo avec sa tronche fripée de vieux basset, est formidable ( fort minable ? ) comme souvent dans les opus du cinéaste rital.  Bref, une péloche qui ne vous fait pas ronfler dans le canapé comme bien souvent. Du coup, j'ai bien envie de me refaire The Young Pope, la série magistrale, et quelque peu déjantée, bien sûr...

Arrêt minute.

 Vous nous voyez navré de vous faire porter le chapeau... Un bonnet d'âne, que d'ailleurs, en des temps plus anciens, vous n'hésitiez pas à coiffer sur la tête de vos petits camarades, qui préféraient écouter le grand Johnny (le lecteur averti choisira le Johnny qui lui convient ) pendant que vous brailliez Street Fighting Man dans les couloirs du lycée... Petit impudent ! Chahuter une institution qui ne vous voulait que du bien ! Faire le malheur de vos chers parents, outrés par les gros mots de Jim, ou les déboires capillaires de Brian...

Et voilà qu'aujourd'hui, il nous faudrait vous absoudre d'avoir oublié le Sergent Poivre, et ses Valeureux, les moustaches de Frankie, ou encore le gentil Donovan qui faisait chavirer les coeurs des midinettes, sa bobine angélique faisant ricaner le diablotin Bobby dans un film bien connu des spécialistes...

Nous comprenons que vous laissiez sur la touche tous les guignols du Chamboule tout national. Sont pas foutus d'écrire un refrain correct... Que vous soulagiez vos envies de grand air dans d'épineuses balades ( Of thin man ), ou que vous chassiez le dahu dans d'éthyliques libations, mais là, y'a maldonne, disait la madone... L'addition risque d'être salée, si vous vous obstinez à faire le vide dans votre tête de piaf, et vous risquez de gros ennuis à éviter la maestria de Notre Vénéré... 

Mourir pour des idées est une grande chanson, mais mourir sans la moindre idée, est une idiotie... Souvenez vous de l'adage :

La mort sera la preuve que nous avons vécu...

Bien à vous.

 Ne boudons pas notre plaisir... La guerre en Ukraine vous désespère, comme les couillonnades des candidats au Château vous exaspèrent ? Vous regrettez le Front Populaire ? Votre larfeuille a des envies de meurtre à la pompe, et les légumes sont si tellement chers, ma chère, que l'on boufferait volontiers de la terre,  si nos ratiches n'étaient pas que poussière... Le réchauffement climatique vous fait froid dans le dos ? Pas de panique les loustics... Sachez qu'en ce jour de félicité, ce matin où le soleil couine un peu, mais promet de gentilles choses, ma petite radio, et moi même, vous annonçons que c'est Marie de Dunkerque, qui a gagné le Championnat du monde du cri de la mouette...

Honni soit qui mal y pense.

Arrêt minute.

 Faut se rendre à l'évidence... Ca fait un bail que vous n'avez pas lorgné du côté de chez Bobby... Les yeux dans le vague, perdus sur le flou de la pochette de Blonde on Blonde. Cette écharpe autour du cou qui laisse entrevoir bien des choses... Ou encore la trogne sur Bringing Il All... celle du gars qui a rendez-vous chez le dentiste, prêt à bouffer le matou qu'il tient dans les bras... Ca n'augurait déjà rien de bon... On dirait que vous vous en battez les genoux pire les Présidentielles. Z'êtes pas tout seul remarquez, paraît que la Foire aux Affaires n'attire plus grand monde... Que le bon peuple ira volontiers à la pêche s'il fait beau temps, ou au bistrot s'il fait mauvais ( temps ).  Ces " Times They Are  " traînent des pieds, et le vieux Zimmerman n'y peut plus grand chose... A part zoner dans la discothèque vieillotte d'un trompe la mort aux côtés d'un Mick toujours rigolard, ou d'un Neil Young aux cheveux crades... C'est déjà pas si mal, vous me direz... 

N'empêche, faut vous reprendre Alexandre... Déjà que la saison n'est pas propice aux rigolades, si vous laissez tomber les monuments, la fanfare, et les pompiers ( Rainy day... ) on se demande ce que l'on va faire de vous... Et le fait que vous soyez moitié sourdingue, n'excuse rien. Un plumitif dur de la feuille se doit de rester à la page, qu'on se le dise !

Les mauvaises langues prétendent même que vous seriez en froid avec Notre Ami à tous... Qu'est-ce qu'il se passe Jonas ? Quelle mouche vous pique, vieille bourrique ? Nous allons devoir prendre des mesures, sanctionner ces écarts, peut-être vous priver de dessert, et de boisson, vous envoyez chez Vladimir avec ce pauvre Alexeï... Bref, vous en faire voir pis que pendre, en espérant que vous rentrerez vite fait, bien fait ( pour vous ) dans le droit chemin, retrouverez, persistant, regrettant, et pleurnichant (?) le " bon vieux temps" comme à votre habiture... . 

Like a rolling stone comme disait l'autre.

 Vous savez ce qui chagrine les vieux tromblons, les mous ridés, les vieilles badernes joufflues, ou dépenaillées ? 

Ce qui fait frétiller les gosiers des vieux pélicans Balladuriens, des perruques en peau de fesse, et des  mous du genou ?                                                                                                                                                                                                                                                               Le sentiment d'urgence...

                                                                                                               ou le goutte à goutte du

                                                                                                               silence...

Actu...

                                                          Les douze salopards

                                                          Les douze coups de minuit

                                                          Les douze apôtres

                                                          L'année des douze singes

                                                          Les douze candidats...

                                                          CECI N'EST PAS UNE

                                                          CHRONIQUE.

James " Magritte "

Harley.

Incognito

 The Byrds.

 Les Bourriquets s'en vont voir la Madone. Ils râlent qu'il fait trop chaud pour la saison, qu'ils ont une soif de chameau, et des cors aux pieds (ceci n'a rien à voir avec cela ndlr ). Bref, ils ronchonnent pire le hérisson sous ses épines... Qu'est-ce qu'ils avaient dans la tronche les pèlerins à vouloir se casser les genoux dans des Golgotha d'un enfer pavé de mauvaises intentions, pour finir à blablater devant une statue dure de la feuille, qui de toute façon n'exhausserait rien du tout... Et le prix des tomates qu'arrête pas de grimper, la guerre qui déchenille des pauvres gens... Des croyants de première, des champions de l'encensoir, pourtant... Je vous laisse juge... Et le jaja ! bavasse Bourriquet... Plus moyen de siffler une chopine sans te couper un bras ! Je suis à deux gorgées de maudire le ciel, et tous ses acabits ! rajoute le baudet en sueur... Un ratichon croisé en chemin leur promet un chemin de croix pas piqué des hannetons. Paraît que là-haut, le Pater en chef se fait des cheveux... Il aurait foiré le modèle, l'arbre, la pomme, et le serpent... Toutes ses ouailles préfèrent se foutre sur la margoulette pour des histoires de terrain, regarder CNew, et lorgner la femme de son voisin, plutôt que faire pénitence, repentance, et tout le fourbi qu'il avait inscrit sur des tables que même ces vauriens d'Ikéa n'oseraient plus fabriquer. Le barbu Allah, et le tonsuré Bouddha soupirent que chez eux, c'est pas mieux... S'en faut d'un rien qu'ils rendent leur tablier, et s'en retournent peinards sur les bancs du Sénat, où, d'après Madame Suzanne,  on se la coule douce...

Pensez à prendre du pain en rentrant, leur dit la Madone du haut de son piédestal... La donzelle, malgré des apparitions aléatoires, garde les pieds sur terre. C'est déjà ça...

Le Merle moqueur.

 Tous les matins, au réveil, Boris écoute Einstein on the beach - Knee 1 de Philippe Glass...

 Le chien Balthus remue doucement la queue, comme s'il battait la cadence... One... Two... Three...

 L'hypnotique étant la marque de fabrique du Maestro, pas étonnant qu'on se barbe un peu au bout de quelques mesures, pense le clebard qui a l'oreille plus fine que musicale. Boris pense au groupe Magma qui utilisait ces lancinantes répétitions, dans des albums aux noms bizarres, que l'on n'écoute plus guère. C'est dommage... Les coquins savaient y faire, pour mélanger la tambouille... A Ravel aussi... Le fameux Boléro, et à bien d'autres... La liste est bien trop longue pour qu'on s'y attarde plus longtemps...

Puis tous deux se rendorment, fatigués par tant de mathématiques.. One Two, Three...

Arrêt Minute.

 

Désolation Angels

 

 Si je comprend bien Manu Jupi va renouveler le bail sans prendre le temps de s'essuyer les pieds sur le paillasson... < Vous croyez que j'ai que ça à foutre... Faire un état des lieux, alors que je passe mon temps au bignou avec l'autre tordu ! Je vais changer de concierge, renouveler le syndic, et pis c'est marre ! Déjà que j'en ai bavé pour refaire la déco à mon goût avec ces locataires qu'on repeint le hall d'entrée en jaune, salopé nos monuments, et pis après les Nimbus qui ont transformé l'ascenseur en salle d'urgence... Cette fois, z'allez voir, je vais siphonner la droite, la gauche, et le saint esprit, ça va chauffer sous les casquettes ! > aurait-il déclaré à ses proches d'après une source sûre... < J'lui botterais bien le cul au Ruskoff, mais Joe l'antique, et le gazier teuton veulent rien savoir... Et question matos, on est un peu courts pour s'en aller casser du moujik sur la Bérézina...  > aurait rajouté le Président,  tout colère, la perruque de traviole, et les traits tirés par un arpenteur en goguette (?) en triturant son hochet...

< De toute façon, tous les voisins sont d'accord, unanimes pour suivre le Chef, à part le farfelu du dessus qui ne jure que par Jean Lassalle... A croire qu'il lui doit du pognon, au grand escogriffe à long pif ! >

Guiguitte, son instit préférée, a beau le sermonner. Le Président, féru d'Audiard ( et peut être de... ) continue son chapelet de gros mots... Une vraie Ronde des jurons... Sacrebleu, et Palsambleu ! Nous y voilà !

Le Merle moqueur.

 Au marché de la Grenette                                                     Des histoires de guerre

J'ai acheté des fleurs pour                                                      de peur

Babette.                                                                                  de misère...

Des pommes, des poires,                                                        Mais au fond je n'y

une andouillette,                                                                     pensait guère.

et des histoires pas très                                                           Babette, c'est son

nettes.                                                                                      Anniversaire...

Tu crois vraiment qu'il connaît une Babette ? Et ce marché ? A part celui de Brive la Gaillarde, j'en vois guère d'autres...  Je sais pas trop... Avec lui, on ne sait jamais si c'est du lard ou du cochon ( qui s'en dédie ).                                                                                  

Ho Valie !

 Bien sûr que je suis partagé... Faisant mes choux gras de l'adage de St Coluche " Plus cons que les sportifs, t'as les supporters " je ne peux prendre parti, sortir mes écharpes, ou agiter des drapeaux ornés d'un coq, ou d'une rose... J'aime autant les Windsor, que Mimile l'Arsouille... D'ailleurs, je suis franco-anglo saxon. La faute à Yves Duteil** et autres pourfendeurs de mots bien de chez nous, à Piccadilly, aux mini zupes, et aux chevelus magnifiques qui ont taillé la Route Soixante six, à ma place. Tiens, pas plus tard que hier, j'aperçois le vieux Keith dans une émission à la noix, qui bavasse sur les riffs, et le groove... C'est pas d'la balle ça !

Bien entendu, je reste Austro Rital, à cause de Wolfgang ou Giuseppe, Maria, les pipelettes à Pucchini, et autres bandits de grand chemin... La cause est entendue. Le beau Freddy, et Montserrat, ça vous dresse les poils... J'ai la résilience teutonne... On n'échappe pas à Ludwig, au Bayern, et à l'Oktoberfest... Si j'ai renié le grand Brésil, c'est la faute au connard Bolsonaro ( Que le Diable les emporte, lui, et tous les Vladimir... ) mais je reste très Samba pa ti.. Un rien de Maghreb, d'Oum Kalthoum, un zeste de rap, et toujours le blues des jazzmans... Vous me voyez bien ennuyé pour donner un pronostic...

Je vous dois un aveu. Je suis également Helvète à mes heures. Le souvenir d'une raclette bien arrosée sur les hauteurs Genevoises, reste à jamais gravé dans mon esprit. 

Satisfaction.

** Je blague...

19/03/2022. 08h22.

 

Incognito

Brian Jones.

 Quand je marche, je pense avec mes pieds. C'est bien suffisant. Ma cervelle embrumée fait une pause. Laisse la place aux orteils alignés au bout des panards, d'abord tout contents, très fiers de servir à autre chose qu'à envoyer des odeurs suspectes, mais bien vite lassés, recroquevillés au bout d'une godasse qui ne fait pas de cadeaux dans la pente... Les pauvres rêvent d'un éventail au bord de la Playa del Seta là, où tous les ans, Isidro, le vieux portugais apprécié de  tous, va se les mettre (les doigts de pieds bien sûr !). Veinard de portos qui garde ses patounes bien au chaud, en attendant des jours meilleurs !

Si je vous dis que quand je marche, je pense avec mes genoux, vous penserez que je m'égare Edgar...

Alors, je m'arrête là.

C'est tout pour aujourd'hui. Demain, je vous raconterai comment je fais des jeux de vilain avec mes mains... Si vous insistez, je peux jouer des coudes... A l'oeil, bien entendu...

Sale temps...

 D'un coup, le ciel a pris une couleur d'urine qui aurait réjoui un rat de laboratoire. Vous savez ces Nimbus déguisés en cosmonautes qui nous préparent un avenir d'éprouvettes, et de canules... Dans la rue, les gens ont levé la tête, mi amusés, mi inquiets... Cette moutarde qui stationnait au dessus d'eux, comme un étron de chien fourbu ( ça je ne sais vraiment pas d'où ça vient ! ) faisait la part belle à toute supposition. Les plus anxieux remirent leur masque sur le pif, supposant que l'apocalypse promise par l'autre enflure ruskof faisait son chemin; Les autres, plus insouciants, se tapèrent dans le dos, rêvèrent d'une pluie de météorites en sucre, en poussant les ha ! les ho ! traditionnels en de telles circonstances... Atténuantes, ou non, les circonstances prenaient un air de caramel fondu, une couleur pipi que n'aurait pas renié ma tante Constance qui surveillait ses sels comme l'huile sur le feu ( je ne sais pas non plus ! ). Les piafs volaient ras le sol, lorgnés par des matous affamés, gobant au hasard des fourmis volantes pas prêteuses... Un sacré bazar ! déclara in petto le taulier de la quincaillerie du coin en astiquant ses clefs à molette, qui rappelons le pour les plus distraits, n'ouvriront jamais aucune portes, pas plus qu'elles ne se poseront sur la portée d'un joueur de piano à bretelles...

Finalement, le capitaine des pompiers déclara devant la presse, qu'il ne s'agissait qu'un coup de sirocco, un restant de khamsin ( un bien joli mot ndlr ) qui saloperait les bagnoles, et la vitrine de la boulangerie...

Les dromadaires en rigolent encore. Sacrés chameaux !

Incognito

 Jean Paul Sartre.

 Foutre de Dieu ! Voilà que ce matin, un Benoît qui cause dans le poste du service public, nous tanne les oreilles avec sa semaine de la francophonie... Je l'eus susse plus tôt... Pensez comme je me serais appliqué à jacter comme une baronne, à vous faire voyelles, consonnes, lustrées comme le guéridon du salon... C'est qu'on cause comme on vit, m'avait dit un célèbre vendeur de barbituriques, consulté pour renouveler ma réserve d'analgésiques canins ( voyez on peut dire n'importe quoi, avec de jolis mots ! ). Je vous aurais torché quelques lignes dignes d'un Booba bien élevé, me serait démantelé la cervelle, et le reste, pour vous pondre un oeuf tout neuf  venu tout droit de l'Impasse Florimont, où vous le savez bien depuis le temps que je rabâche, a résidé Notre Ami à Tous qui n'était pas le dernier pour jouer avec les adjectifs, et les phrases mijotées aux petits oignons...

Seulement voilà... Pas de bol, pas de nougat... J'ai toujours une loco de retard... Déjà tout petit, je voulais pas grandir, et bien plus tard, je rechignai à mourir à l'heure dite... Villon de bord ! Le spectacle Debord ! me disaient souvent François, et Guitou, deux échassiers de l'ancien temps.. Mais on se refait pas. M'escrimer comme Zorro avec ces foutus mots qui me fatiguent, me déchenillent, et me sucent la moelle depuis que je ne tête plus ma mère ( the mother, une sacrée invention, me souffle un filou toujours sur le coup ), ça m'use le galet... Mais je ne transige pas avec le scribouillage. Vais droit au but.

Déférence gardée envers Paul Valéry

Moi l'humble troubadour sur lui, je renchéris...

Trouvez mieux. Tant pis pour toi, Benoît !

Bien à vous.

 On  ne sait qui de nous, ou du héron fut le plus surpris... A la décharge du gentil volatile, il ne pouvait imaginer que deux baudets pataugeraient dans cette jungle de choux, longs comme la dette publique, plus hauts qu'une sauterelle montée sur des échasses... Je ne cite pas de noms, mais j'ai mon idée...Adriana, Carla, et toutes les grandes gigues qui, jadis, firent rêver les podiums, et les morpions en manque de chaleur féminine... Si ça ne vous parle pas, demandez au petit Nico, ce nabot veinard... Comment voulez-vous après que Lavérie Précesse lui fasse du charme... Autant acheter un Rapido en espérant tirer le gros lot ! Avant de s'envoler, la bestiole lança un regard que l'on voudrait torve, un adjectif pas piqué des vers, que l'on emploie plus guère que dans les romans à deux balles... Mais à cette heure, on n'est sûr de rien ( pour l'adjectif ). Un regard de piaf, ça vous joue des tours (?). Regarde, c'est un jeune ! a dit la baudette d'un air que l'on aurait voulu sentencieux rien que pour prouver que l'on avait du vocabulaire, mais là encore, rien n'était moins sûr... 

Le baudet n'a vu que deux fines pattes, un long bec emmanché d'un long cou, parce qu'on a appris çà à la Communale, entre Charlemagne, et les trains qui se croisent, ronchonnant ( pas les trains, le baudet... ) qu'il venait de noyer une paire de godasses toutes neuves dans un trou de castor non signalé...

Le retour fut morose sous une pluie d'invectives, ce qui ne veut pas dire grand chose dans le contexte,  mais réjouit l'Oteur pire cette expression venue dont ne sait où : La moutarde me monte au nez...

Si vous connaissez la réponse à cette histoire de moutarde, nez hitez pas à donner votre avis... Le héron, les baudets, les feuilles de choux, le castor, et l'Oteur,, vous en seront bien reconnaissants...

 Rien n'est jamais parfait de ce monde... Ce n'est pas moi qui dirai le contraire, avec mes vieilles branchies, et l'impression persistante que qui n'avance pas recule... Les exemples sont nombreux... On imaginait qu'on se roulerait des galoches jusqu'à la fin des temps, qu'on irait faire les foufous avec les t'its hommes verts, et les pétroleuses Plutoniennes, et paf ! Un gros lourdingue vient mettre le bazar dans notre avenir de sauterelles. Nothing is perfect, je vous dis... On n'a pas vu venir le cancrelat, et son armée de cafards, la vilaine blondasse, et ses bataillons d'aspirants trouducs, tous prêts à faire la nique à Jupi, ce pauvre gars qui a bien des soucis avec l'autre Dracula... Les Affreux profitent, piaillent dans le poulailler, pour quelques voix de plus, remuent la tambouille " populaire " façon de pas louper la fameuse "Marche de l'histoire" tu parles Charles... Manquerait plus que la Queen rende ses galures à fleurs, que le XV loupe le crunch avec les Rosbifs.. Que les chats ne coursent plus les souris., ou que Line Renaud fasse un môme avec Michel Drucker... On irait où ? je vous le demande...

Tiens... Comme ce fromage acheté hier sur le marché aux fleurs... Sûr qu'il est fait à point, crémeux, doux sous la langue comme une léchouille de chien, mais il ne sent pas assez les pieds pour faire frétiller les papilles de l'honnête homme. Rien n'est parfait, je vous dis...

Arrêt minute.

                                                           J'ai rarement vu ça

                                                           a dit

                                                           Gérard Menvussa

                                                           croyant faire

                                                           de l'humour...

Un peu d'humour...

 Ca coûte rien...

 Merci

 Charlie.

 Je n'ai pas vu l'heure passer... En deux coups d'aiguilles sur la tocante à grand-papa, le gousset qu'il m'avait donné le jour de mon anniv en me disant que " les heures sont longues, mais la vie est courte " elle ( l'heure  ) a foutu le camp plus vite que mézigue devant ses responsabilités, son positionnement dans le grand fouchtra planétaire, la meilleure façon de faire, ou défaire, cette phrase plus longue qu'une file à la Sécu, et qui, j'en suis sûr, commence à vous courir sur le haricot...

Vous allez me dire... Je prends le pari, puisque souvent vous ouvrez votre caquet à tort et à travers, racontez des histoires à renvoyer tous les St Ex sur leur planète à la noix, qu'une heure de plus, ou de moins, ça ne compte guère... Allez dire cela aux habitants de Kiev qui attendent les Affreux d'un pied ferme... Ils ne rechigneraient pas à perdre quelques heures à se balader dans le parc en rêvant... Aujourd'hui, c'est plus pareil... Comme toujours, tout dépend de quel côté du manche on se trouve... 

Pendant qu'on se balade, le nez en l'air, en regardant ailleurs, ces pauvres gens entament un décompte macabre ( des heures ). C'est triste.

Arrêt minute.

Poiscailles...

 Qu'utilise-thon pour prendre des bains de boue ?

                                                                                                   Une baignoire verticale.

                                                                                                   dit le squale...

Evident, rajoute

Père Hareng...

Ceci est
un
inédit...

 

Hippies...

 On peut, sans risque de se fâcher avec son voisin de palier ou les cosaques de l'autre tordu, dire que les déboires musicaux de Bourriquet sont nombreux... Je ne vais pas vous les citer ici, vous sachant très occupés par la guerre, le prix de l'essence, et le rivus qui fait la tronche, remplacé dans vos têtes de bois par les saillies ruskoffs... On est en droit de se demander laquelle de ces deux merdouilles ( pandémie touche pipi ! Invasion piège à cons ! Tournez manèges ! Tirez la queue du mickey ! Relisez Jean Vautrin ! ) fera date dans l'histoire. Les deux sûrement... Les papivores de tout poil, se lèchent déjà les babines... En attendant la prochaine ( merdouille ) bien sûr...

Ces bidouilleries sont quand même une sacrée affaire ! Même si le temps... Les vieux hippies comme Bourriquet, n'imaginaient pas, un jour, accrocher des Masters of War tous neufs à leurs cintres fleuris, soufflant sous leurs masques, cigarettes, et pt'ites pépées,  se contentant des arabesques à n'en plus finir de la guitare de Jerry Garcia, un poilu, mort reconnaissant. Pensaient finir en pères peinards entourés de nuées qui fleuraient bon l'eucalyptus, et d'un Gimme Shelter bien burné pour flemmarder dans les travées du champ de navets... En sont pour leurs frais, les babas... Plus près d'Apocalypse Now que des bacchantes de David Crosby un gentil que tout le monde a oublié...

Donc je ne vais pas vous ennuyer avec les mésaventures du baudet.. Peut se repasser en boucle tous les Woodstock d'avant Altamont, je m'en fous... Pour ma part, trouillard comme je suis, je continue à fredonner cette enfantine " Prom'nons nous dans les bois, pendant que le loup n'y est pas ". Ca ne résout pas les problèmes... Mais ça perfuse gentiment le quotidien...

Amnézy *

 ( There's ) Always Something There to Remind me... Evidemment que je n'ai pas trouvé ça tout seul... Vous croyez quoi, que j'ai la science infuse, une mémoire encyclopédique, éléphantesque comme M. Droopy ? Déjà que l'angliche, c'est pas ma tasse de thé ( j'ai pas pu résister ! ) que j'ai du mal à me souvenir du pédigrée de tous les rosbifs célèbres qui ont bercé mes boutons d'acnée... Je parle ici des  musicos, des chanteurs hirsutes, et autres malandrins qui faisaient braire darons, et daronnes... Pas de la Queen, et autres Lady Di ( je les aime bien aussi d'ailleurs ) ou du XV de la Rose qui fane doucement. Y'a bien fallu que je cherche, consulte, tripatouille les glandes à Gougeule pour retrouver ce machin... 

Remarquez, sans le savoir, je connaissais cette rengaine... Vous savez, comme quand dans la rue, on croise un pékin et qu'on se dit " J'ai déjà vu cette tête là quelque part " qu'on se retourne sept fois la menteuse, en disant " Mais qui ça peut bien être ".. Minot, j'avais dû la siffloter entre mes premières cigarettes, et baisers dans le cou... Mais de là à ce qu'elle me revienne en boomerang dans la tronche pire qu'une invasion de l'Ukraine pas prévue (?) y'avait une marge que les diplomates avaient du mal à combler...

Bref, vous ne direz plus que je me donne pas du mal pour mettre un peu de lard dans vos haricots... J'entends le coquin Claude Moine qui ricane doucement... D'accord, vieux bougre... Toi tu te rappelles... Mais, sans vouloir te chercher des poux dans la paille, cette ritournelle fait plus d'effet chantée par Sandie Shaw, la donzelle qui avait toujours les panards à l'air...

* Joli non ?

Le Merle chanteur.

 J'ai posé les doigts sur le clavier histoire de conclure une bafouillette de mon cru... Pas une gaudriole... Non, un machin à faire pleurer dans les chaumières, tristounet comme un matin Ukrainien, qui en trois rimes, et deux alexandrins raconte les fausses larmichettes, des menteries amoureuses, bref des cucuteries qu'un Oteur qui se respecte (?) doit avoir dans son répertoire... Des pleurnicheries que même le fameux faussaire du Vénéré, a oublié dans son catalogue... Il en a d'autres ( le Vénéré ) vous me direz, des histoires ( de faussaire ) et pas des moindres... Il faut rester humble devant un tel étalage... Accepter sans broncher que dessous les moustaches, et sa vieille pipe en bois, fleurissent des circonvolutions qui vous envoient aux fleurs sans couronnes (?). Vieux bougre ! Tu pourrais nous aider ! a murmuré la muse qui fait le ménage dans mon gourbi, secoue les tapis, et tant pis, je le dis, me cause bien des soucis...

Perdu entre les noires, les blanches, les phalanges usées pire un cierge du dimanche, sur les mots, j'ai mis quelque musique qui se voulait ludique... Un vrai piaf sur la branche... Trois notes, et puis, plus rien... Il chante faux le serin, tagada tsoin tsoin...Toutes les trompettes ont pris perpète, les cymbales se sont fait la malle, et la grosse caisse en fait des caisses... Caressant mes cheveux d'une main toute ramollie, la muse toute attendrie m'a dit, 

T'en fais pas mon pt'it vieux, n'est pas Mozart qui veut...

Elle m'emmerde, elle m'emmerde vous dis-je... ( la muse ).

Le Merle rabâcheur..

 C'est Balthus le chien qui m'a mis la puce à l'oreille. D'ordinaire, il garde ses microbes bien rangés au fond de ses poils, comme ses bouts d'os, et ses rêveries canines...  Le clebs, la Puce, et les Oreilles, voilà une jolie comptine ( contine ) pour incontinent ( pardon ! ) que n'aurait pas renié le bon Jeannot... Il m'a sorti une de ces phrases alambiquées dont il a le secret : Deux points à la ligne,

                                                             " Se réinventer tout le temps

                                                                c'est une sorte d'évitement "

Je me demande où il va chercher tout ça...

Philo filou.

                                                         

Incognito

 Donovan Philip Leitch.

 Les deux Bourriquets des Brumes s'en vont bras d'ssus, bras d'ssous à la Foire aux Andouilles. Y'a des promos chez Prisunic, et des gogos chez Gogomix qui font la queue pour choper à bas prix, les bas morceaux d'un consumérisme en charpie, à cause d'une chamaillerie entre le Roi de coeur, et la Dame de pique (?)... Pensez ! Toutes ces affaires à faire... L'ultra moulinette, livrée avec ses bombinettess - celles qui mettent tout en miettes - pour trois francs, six sous... Les rapaces qui volent en Rafales pour moins de dix balles, on va pas louper ça !  Devant la file d'attente, les deux compères hésitent, méditent, consultent les astres, le temps qu'il fait, et les prédictions de Castex, le grand vilain, qui joue à cache cache avec ce qu'il reste des Nimbus, remplacés vite fait par les Cassandre sur les zones de guerre (?). Ils enfilent le masque, le désenfilent, soufflent leur mauvaise haleine dans le nez des pékins,  jouent des coudes, écrasent quelques arpions, se font bourrer le mou, tordre le cou, alpaguer par une diseuse de mauvaise aventure, un vendeur de parapluie ( atomique, le parapluie ! ). On leur chatouille les naseaux pire au Salon, les maquignons, et comble de malchance, une méchante pluie ( acide, la pluie ) fait déborder le bénitier où les grenouilles en rut sautaient comme des cabris, devant l'avenir en solde ( Quel charabia ! On n'y comprend rien râlent les lecteurs  énervés ! ). Moi non plus ! rajoute le vilain Merle en riant sous cape...

Le Merle moqueur.

Actu

 Alors ça y est, notre Manu est entré dans la reine ( C'est pas moi ! C'est Nougaro )... Va falloir augmenter la dose d'amphètes jeune homme, pour continuer à discuter avec l'autre scorbut, diriger l'Europe, et promettre des matins qui chantent aux électeurs maigrichons... Comme quand tu fais la grosse commission, que tu fumes un havane en lisant le journal, et que tu ressasses les affaires du monde... C'est compliqué comme situation... Je sais, j'ai essayé... Moi, à sa place, poltron comme je suis, j'aurais fait mon baluchon, pris mes éconocroques, et Guiguitte sous le bras, serait parti vers ces pays imbéciles, qu'un malappris cite sans vergogne, sans prendre garde aux retombées... Me serais fait tout petit ( stop !!! ) devant le bazar... Et je vous prie de croire que je vous charrie pas, un claquement de porte me fout la trouille, alors des pétards dans le gourbi... Je sais ne pas être seul dans la mouise qui s'annonce, et comme vous, je reste plutôt baba devant l'abnégation ( refusé ) du Président dans l'effort... Prêt à me serrer les coudes pour aider Anastasia, puisque souvent, l'ennui m'anesthésie ( c'est pas moi ! c'est Béranger )...

A deux bombes de là, posés sur l'autre branche, les coquins de l'opposition vont pas faire les fiers... Peuvent bien affûter haches, et couteaux, balancer quelques missiles, vont faire pschitt...  Leur reste que les miettes, et les gesticulations... Ca fausse un peu le chamboule tout... Peuvent pas se permettre de serrer la louche à l'horrible... L'entente, si elle n'est pas de mise, s'impose... Mais soyons légers, imaginons que tout le monde enfile sa chemise dans le même pantalon, qu'on en pousse une petite avec les Choeurs de l'Armée Rouge, se serait chouette... Ne soyons dupes, c'est pas pour demain, et quand le merdier sera terminé, on peut parier que chacun s'en ira braire de son côté, et si notre life change ( le vl'a qui cause comme un jeune, ce bouffon ! ) on n'ira pas dans le sens des aiguilles d'une montre là-dessus (?).

 

 Ah mes petits loups ! Quelle histoire ! Ca matin au réveil, j'étais bien décidé à vous entretenir des négociations secrètes, des pourparlers diplos que je mène sans relâche entre moi, et moi-même, de mes oreilles qui me chagrinent tellement que j'ai appris à me gratter avec la patte arrière ( ce qui pour le septuagénaire n'est pas chose ordinaire ), et voilà que j'apprends que la vieille morue, non contente de faire des razzias en Ukraine, nous enlève J.P.P. Que rajouter à toutes ces avanies ? De qui va-t-on se moquer dans les salons progressistes, les alcôves éclairées, où s'agitent l'intersectionnalité, les théories fumeuses, les néos de tous poils ! Bon il nous reste Sardou, et Zemmour pour les quolibets... N'empêche... Ce gars là ( J.P.P.) loin d'avoir Mauvaise réputation dans le Landerneau des pantoufles, et tabliers, nous racontait si bien Les sabots d'Hélène, l'omelette baveuse, ou les gargouilles de Notre-Dame, que même les premiers de la classe ( ou supposés ), les normaliens, et les forts en math, en restaient babas... Vous dire la détresse des Gisèles... Vous me voyez donc bien fatigué ce matin, à imaginer des scribouillages qui n'apporteront rien au désarroi de la France d'en bas.

J'ai quand même un avertissement à formuler au milieu du désastre. Je suis un garçon gentil, mais si Maman Brigitte de mes deux, nous sabre Jean Lassalle, je prends les armes...

Journal Confus.

gps

 Les bourricots sont venus demander aux zigotos des nouvelles de la guerre... Est-ce qu'on allait subir des restrictions sur les aliments du bétail... Les tauliers se faisaient des cheveux sur le cours du foin, ce qui n'augurait rien de bon pour la suite.. C'est que l'herbe est encore rase à cette période, a dit le plus vieux, un aliboron qui boitait un peu suite à une mauvaise chute de cheval (?).  Et Messieurs Dames, question abri, vous pouvez constater qu'on est plutôt mal lotis... Une vraie cabane de gitans... Voilà ce qu'on a comme niche en cas de mauvais temps... Les clebards du haut sont mieux logés que nous autres... Des saletés qui passent leur temps à gueuler haro sur le baudet... 

Les deux Bourriquet ( Monsieur et Madame Bourriquet des Brumes ) ont rassuré les bestiaux. Pour l'instant, ils n'avaient pas croisé de missiles ( sans doute partis en croisière ) ni pris une ogive sur le coin du museau. Pas même senti une odeur de vodka qui serait venue leur chatouiller les narines... Pourtant la bibine, c'était leur rayon, et Kalin Kalinka une copine pas piquée des verres qui ne rechignait pas à la boisson ( comprenne qui pourra ! ndlr ). Le soleil faisait le beau dans un ciel dénué de toutes mauvaises intentions... 

Ils se sont fait câlin comme cochon, et chacun est reparti à ses occupations. La guerre se fait du blé sur le dos des pauvres gens, animaux, ou pas, les roulent dans la farine, et le meunier ne peut pas être " au four et au moulin" c'est bien connu...

De notre correspondant...

Incognito

Charles Aznavour. 

Actu

Andrey Rublev
ATP Dubaï

Voilà qu'à nouveau vous prenez vos aises...

Lassée des charniers Syriens, Lybiens, et tout le toutime des frapadingues à kalach sur les terrasses des cafés, des bandits africains, vous faîtes dans le planétaire, la mobilisation générale, dissuasive, et en voiture Simone; nucléaire...

Z'avez trouvé le guignol qui fait l'affaire dans le musée des horreurs. Tout prêt à torcher le match en deux sets, et plier la partie, le sordide Vladimir se voyait déjà number one... Seulement les coriaces d'en face ne s'en laissent pas compter... Z'auriez dû prévoir une éventuelle prolongation... On va vous faire bouffer la raquette, vous renvoyer au vestiaire, satanée Camarde ! Je vous sens un peu tendue... Devriez écouter Marianne F. qui chante As Tears go by. C'est un peu vieillot, mais ça détend...

Humeur Chagrine.